dimanche 12 octobre 2008

bébé tué

L'Union :
Couvin (Belgique) / L'horreur
Un bébé d'un an ébouillanté et frappé par sa belle-mère
ON ne parle plus que de ça, en Thiérache et dans la Pointe, tellement l'affaire bouleverse et indigne. Certes, le drame a eu lieu en Belgique, mais Couvin est si près de Rocroi et de Revin, que c'est un peu comme s'il s'était produit dans les Ardennes : un bébé d'un an, prénommé Noam, a été ébouillanté et frappé à mort par sa marâtre, le jour même de son premier anniversaire. Les faits remontent à mardi dernier et se sont déroulés, en fait, à Brûly-de-Pesche, à quelques kilomètres à peine de la frontière, en un lieu-dit La Forestière et c'est là, dans des conditions que les enquêteurs belges s'efforcent d'établir, qu'une jeune femme de 20 ans, Coralie Gossiaux, elle-même maman d'un bébé de quelques mois, s'est brusquement acharnée sur l'enfant de son compagnon, absent au moment des faits. D'après ce que nos confrères belges de la Nouvelle gazette ont pu apprendre, Coralie Gossiaux demeurée chez elle, parce que malade ce matin-là, avait donc à s'occuper de deux petits enfants.
Pour se débarrasser de Noam, le temps de langer son fils, elle le mit dans son bain, mais le petit garçon se mit alors à pleurer de s'y trouver tout seul et alors, prise d'un coup de folie, elle le doucha à l'eau bouillante, pour qu'il s'arrête.
L'effet fut bien évidemment inverse puisque le petit, brûlé à vif sur sa peau délicate, se mit alors à hurler si fort que, ne sachant plus comment le faire taire, la jeune femme devenue carrément hystérique le prit alors par le cou comme un objet, le secouant et le frappant à plusieurs reprises au visage et sur tout le corps, avant de le balancer dans son lit !
Etant retournée s'occuper de son bébé à elle et s'étant sans doute un peu calmée, elle s'inquiéta tout de même, un moment plus tard, de l'inertie de sa pauvre victime, se décidant à ce moment-là, à appeler les secours. Mais il était déjà trop tard et en dépit des efforts des sauveteurs, durant plus d'une demi-heure, le petit Noam ne put être sauvé. Son décès étant très vite apparu suspect aux médecins, Coralie Gossiaux mit plusieurs heures avant de reconnaître les faits, ne les avouant finalement que mercredi dans la nuit, sans qu'on sache encore, à ce jour, ce qui l'a fait « craquer » au point d'en venir à cette épouvantable extrémité.
On sait seulement que le petit Noam n'était confié aux « soins » de celle-ci que depuis quelques jours, son compagnon -père de l'enfant- ayant obtenu de le récupérer auprès de ses beaux-parents qui en avaient la garde jusqu'ici. Le pauvre garçonnet, décidément né sous une bien mauvaise étoile, avait en effet perdu sa maman à sa naissance et il avait été confié à ses grands-parents maternels…
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on a la date de naissance du bébé (7/10/2007 si les données sont justes) mais sa situation biorythmique le jour du drame (7/10/2008)est neutre. c'est donc du côté de la belle-mère qu'il faut chercher et là on a plusieurs indices également : elle était malade ce jour là... (donc probable jour critique physique, mais à vérifier justement) mais aussi elle se trouvait certainement pas loin de l'entrée dans sa période critique septennale des 21 ans (on y entre à 20 ans et demi). et enfin si l'on disjoncte à ce point là il faut que l'on soit dans son jour critique émotionnel et elle serait donc native du mardi... ce qui peut aussi se vérifier...

édit 6/11/2008 :
je reviens sur mon post du 12 octobre concernant Noam et Coralie, avec cet extrait de DH.be :
"Décès suspect d'un enfant(08/10/2008)
Noam devait fêter son premier anniversaire vendredi
BRÛLY-DE-PESCHE Il était environ 13 heures 30 hier quand un appel d'urgence parvenait, via le 100, au central des pompiers de Couvin signalant qu'un jeune garçon se trouvait en état de détresse respiratoire dans un immeuble de la parcelle 97 du domaine résidentiel La Forestière au Brûly-de-Pesche.
Rapidement sur les lieux, les ambulanciers C. Besson et G. Somme du SRI couvinois ont découvert un petit garçon cliniquement mort. Dans l'immeuble se trouvait aussi la maman. Rejoints par le docteur A. Odonova du Samu des Fagnes, les secouristes ont entamé une réanimation cardiaque mais sans succès. Noam, qui devait fêter son premier anniversaire ce 10 octobre, n'ayant pu être ramené à la vie."
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il semblerait qu'en fait la date de naissance du bébé ce soit le mercredi 10 octobre 2007. (les renseignements dans l'autre article de presse ne semblant pas justes)
c'est important car - toujours sous réserve que la donnée soit juste - je trouve comme je le suspectais, l'élément "jour des bébés secoués" dans ce drame. je m'explique.
les bébés sont en général secoués leur jour critique physique parce qu'ils pleurent de façon insupportable et que le parent ou le gardien craque. (pour le vérifier il suffit d'examiner la situation biorythmique de chaque bébé secoué).
ici la situation biorythmique du bébé le jour du drame (7/10/2008) c'est :
P19 - i1 - et la veille de E1.
il s'agit donc d'un jour critique physique, et de la veille du jour critique émotionnel : deux données qui peuvent conduire un bébé à être difficile, irritable, beaucoup pleurer, tout çà malgré lui, cela va de soi. ce pouvait déjà être le cas le jour avant aussi, où Noam ne devait pas être très en forme (P18 et 19 sont deux jours critiques physiques qui vont de pair).
le problème est que la personne qui s'en occupe, peut craquer si elle ne le sait pas et si elle se trouve elle même dans de mauvaises conditions : elle secoue alors le bébé, mais bébé peut aussi être maltraité autrement quand on craque ce jour là : on peut le frapper, le jeter au sol, l'ébouillanter si on est en train de le doucher ou baigner, tellement on en a marre. certains types de mauvais traitements, (qui peuvent être fatals exceptionnellement hélas), sont alors à mettre sur le compte du scénario "jour critique physique/bébé secoué" il s'agit simplement d'un scénario différent mais dont l'origine, la cause, est la même.

une information adéquate ("bébé est insupportable, a l'air mal ou de mauvaise humeur, pleure fort et nonstop parce qu'il se trouve dans son jour critique physique aujourd'hui, mais je garde mon calme ou je demande de l'aide") pourrait éviter une bonne partie de ces drames.


édit 21/03/2011 : trouvé la date de naissance de la gardienne (lundi 31/10/1988) ce qui permet de voir sa situation à elle, le jour du drame :
c'est un lendemain de son jour critique émotionnel E1 (E1 le 6 octobre 2008) et approche du 20ème anniversaire

édit 20/10/2016  j'ai trouvé çà aussi :
https://www.youtube.com/watch?v=pi1dbFGjmHk


situation du bébé :  (situation triplement critique forte trois jours avant l'anniversaire)
7 octobre 2008 (10/10/2007)
Je 2
Ve 3
Sa 4
Di 5
Lu 6 P(18)
Ma 7 P(19) I(1)
Me 8 E(1)
Je 9
Ve 10
Sa 11

3 commentaires:

steph a dit…

Coralie allait seulement avoir 20 ans le 31 Octobre prochain !!!

geispe a dit…

je vous remercie de cette précision importante pour moi.
sa date de naissance étant dans ce cas le 31/10/1988 j'ai regardé sa situation le 7/10/2008 jour du drame d'après l'article dont je dispose.
il s'agit du lendemain de son jour critique émotionnel (Coralie est née un lundi) E1 : je pense qu'il y a ce lien et c'est ce jour là qu'elle aurait pu être mal fichue ou dépassée, surtout moralement. (E1 est le plus "dur" des quatre jours critiques émotionnels). Probablement que c'est - pour moi en tous cas - une part de l'explication de sa réaction.
il y a deux autres éléments dont je tiens compte aussi : l'arrivée de la date anniversaire est pour de nombreuses personnes une période de dépression possible (environ les quatre semaines qui précèdent) : Coralie était dans ce cas mais aussi le bébé, puisque c'était apparemment son jour d'anniversaire.
n'hésitez pas à me rectifier si quelque chose n'est pas juste dans les données dont je me sers pour mes hypothèses.
en tous cas cela soulève le problème des mamans dépassées et qui ont par moment besoin d'un coup de main, mais aussi des enfants ballotés au gré des séparations... tous problèmes qu'il faudrait arriver à résoudre...

Elise a dit…

Il y a pas de excuse a trouvé a ce monstre