mercredi 1 octobre 2008

antoine...

j'avais vu juste quand
le 26 septembre j'ai écrit :

"on pourrait déjà, par curiosité, voir si le 11 septembre au soir est un "jour de fugue"... en vérifiant si Antoine est né un vendredi : le jour critique émotionnel est souvent le jour des fugues, parce qu'on est bien plus susceptible ce jour là. on, est plus enclin à passer à l'acte si on est contrarié. c'est le jour des bêtises...
ce n'est pas du cent pour cent cela va de soi, et il peut aussi y avoir une coïncidence par hasard, mais j'ai souvent trouvé le jour critique émotionnel chez les fugueurs... car c'est en quelque sorte un jour "coup de tête".
(je dis vendredi car le jour critique émotionnel démarre la veille au soir : un natif du vendredi va "entrer" dans la période critique de son jour critique émotionnel dès le soir précédent aux alentours de 18h en principe : Antoine aurait fugué le jeudi soir...)

on peut, par la même occasion, vérifier la situation biorythmique d'Antoine le jour de sa maladie : c'est en général un jour critique physique. ce serait donc le 2 septembre, si j'ai bien suivi."

=========================

juste, mais hélas çà ne le fera pas réapparaître, pour l'instant :
par contre mes deux suppositions étaient bonnes...

mon correspondant Daniel vient de me passer le tuyau que je cherchais : Antoine est né le 24 mai 2002 donc bien un vendredi et il a donc bien disparu la veille de son jour critique émotionnel E8...
or les fugueurs ont tendance à fuguer leur jour critique émotionnel...

ensuite... la maladie du 2 septembre... ben elle colle aussi avec un jour critique physique P18 le 3 (peut démarrer le 2) : et c'est un jour où l'on peut être mal fichu voire malade...

tout cela ne constitue par de certitude, mais il n'est pas du tout exclu que Antoine ait fugué ce soir là : reste à savoir ce qui lui est arrivé.
l'autre problème est que le jour critique émotionnel est par ailleurs le jour où l'on se fait bien plus facilement embobiner dans une aventure... qui ici aurait pu mal se terminer...
comme je disais, on est bien plus confiant... et c'est le jour des bêtises.

rappelons enfin que les trois personnes étaient dans une période critique septennale ou sextennale : l'enfant, la mère et le concubin...
la situation biorythmique de la mère et du concubin serait aussi intéressante à connaître, pour le 11 septembre...

pour ce qui est d'Antoine : le jour critique émotionnel peut être aussi un jour d'hyperactivité, un jour d'irritabilité particulière, de tristesse, de colère : j'ai vu des "incidents" parce qu'un enfant était "insupportable" ce jour là...
il faut aussi le savoir. et c'est tout aussi valable pour le ou les parents qui sont dans leur jour critique.

Aucun commentaire: