d'après mes observations, la
dépression est un élément inhérent au fonctionnement du vivant... en effet le vivant n'est en quelque sorte pas un courant
continu... mais une sorte de courant alternatif...
:-)
cette dépression nous arrive donc, à tous,
naturellement selon plusieurs
rythmes. la plupart du temps elle ne prend pas une forme
inquiétante et nous assumons nos états d'humeur passagers.
(dépression ici non pas au sens de la maladie mais au sens "météo", c'est à dire un état "différent" pouvant induire un certain nombre de symptômes variés, dont la dépression, alors au sens "maladie") (1)
(dépression ici non pas au sens de la maladie mais au sens "météo", c'est à dire un état "différent" pouvant induire un certain nombre de symptômes variés, dont la dépression, alors au sens "maladie") (1)
j'ai tenté de lister ces épisodes qui sont en gigogne car pulsations régulières mais à divers rythmes s'espaçant progressivement :
(en grand les plus importants)
- hebdomadaire : c'est notre jour critique émotionnel (pulsation chaque septième jour à partir de la naissance - tous les rythmes et cycles démarrant avec la vie à la naissance et fonctionnant ensuite avec une précision quasi horlogère)(notre jour critique émotionnel est notre vie durant toujours le jour de la semaine où nous sommes nés - effets pouvant être ressentis les jours voisins aussi)
connaître et se souvenir de son jour critique émotionnel est important car il est fréquent, puisque hebdomadaire. il peut être la cause d'épisodes de mélancolie, de gros coups de blues voire de désespoir, d'agressivité (disputes) aussi... je l'ai appelé le "jour du suicide" car les suicides ont fréquemment lieu ce jour là ou un jour à côté... donc grande prudence quant à nos réactions et comportements ce jour-là et dès la veille au soir de ce jour.
- tous les 23 jours : l'épisode P17/P18/P19 d'un rythme de l'énergie physique de 23 jours. (c'est le seul épisode de ce rythme qui semble pouvoir avoir un fort effet équivalent à un jour critique émotionnel, donc agissant sur le moral) (épisode à calculer ici http://biorythm.online.fr/w/
- semestriellement : là c'est les environs de notre anniversaire (quelques semaines avant et après) ... et à six mois aussi de ce moment-là. si les effets des épisodes critiques cités ci-dessus sont courts (de un à trois jours) ici on peut passer par plusieurs semaines de déprime voire de dépression, d'agressivité aussi... du moins pour les personnes qui sont sensibles à ce rythme semestriel... et il y en a plus qu'on le pense. à étudier : un pic (entrée et sortie de la période) semble se situer un mois avant et un mois après l'anniversaire - idem pour la période opposée donc 5/7mois anniversaire)
- tous les sept ans : nos périodes critiques septennales (ce sont nos âges de la table de sept et même parfois les années à côté) : ce peuvent devenir des périodes de perturbations longues (dont la dépression septennale qui peut être grave et tenace, parfois même durant plusieurs années)...
- à 23/24 ans : redémarrage d'un nouveau cycle physique de 23 années
- à 33 ans : redémarrage d'un nouveau cycle intellectuel de 33 années.
- à 46/47 ans : redémarrage d'un nouveau (le troisième) cycle de 23 années.
(en cas de préoccupation voire de problème, il peut être utile de regarder si l'on ne se trouve pas dans l'un des épisodes ci-dessus...)(2)
(1) pour les effets, voir : http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/effets.html
(2) ce sont surtout les dépressions de durée plus longue qui font parler d'elles, donc celles souvent liées au cycle septennal : c'est parce qu'elles durent et agissent plus longtemps...
les rythmes moyen (semestriel) (dépression semestrielle), mensuel, et courts (comptés en jours) (dépression hebdomadaire) peuvent pourtant aussi être la cause de sévères "downs", mais de courte durée (quelques semaines pour le rythme semestriel), de un (le plus souvent) à deux ou trois jours, pour les rythmes courts : c'est le fait qu'ils soient plus courts donc moins apparents qui fait que l'on n'en parle pas comme jour ou épisode de dépression... ils ont pourtant une grande importance car ils sont probablement très souvent présents et en cause en tant que "déclencheurs" lorsqu'ils arrivent, lors de nombreux drames humains en tout genre... (fugues, disparitions, suicides, violences...)
attention car les éléments ci-dessus peuvent arriver ensemble (les uns dans les autres s'agissant d'un système de rythmes en gigogne) ou séparément... ensemble ils seront bien plus "à risque" (par exemple le jour critique émotionnel, en épisode critique mensuel, en épisode critique semestriel en période critique septennale)
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