avant un drame une personne va en effet pouvoir être mal durant un certain moment, et elle arrivera à "tenir le coup".
et c'est lorsque survient un élément fragilisant supplémentaire par ses rythmes psychiques qu'elle peut alors flancher, "craquer", et passer à un acte grave voire gravissime. ces éléments nous arrivent périodiquement avec une régularité horlogère et peuvent cumuler leurs effets s'ils arrivent en même temps ou successivement : le jour critique émotionnel par exemple, est hebdomadaire et nous arrive toujours le même jour de la semaine notre vie durant. et c'est probablement l'élément le plus souvent en cause lorsqu'arrive un drame.
et un drame grave donc un acte "extra-ordinaire" ne peut très souvent arriver que si - en quelque sorte - nos horloges
internes individuelles sont à
l'heure d'un possible comportement dramatique, constituant alors une sorte de "feu vert", un "laisser arriver" un comportement excessif...
l'on peut donc consulter
la position des rythmes pour avoir une idée des
éventuels état et dispositions d'une personne à un moment donné. cela permet également de faire une efficace prévention, puisque les éléments à risque sont connus à l'avance.
rappelé enfin que les rythmes et cycles en question ne sont aujourd'hui pas connus de la science et des professionnels alors que c'est la survenance d'éléments psychiques favorisants (éléments de "pulsions" et "désinhibition") qui
est à l'origine des "faits divers" et autres évènements dramatiques en
tout genre, que l'on retrouve journellement dans notre actualité...
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