et c'est toujours le jour de la semaine où nous sommes nés, ou le jour à côté...
cela s'explique par un rythme psychique et émotionnel, rythme de l'humeur et des émotions, qui est à pulsations d'un jour chaque septième jour : à partir du jour de naissance nous aurons un "jour critique émotionnel" chaque septième jour de notre vie ; la semaine étant de sept jours, cela a pour résultat mathématique que notre jour critique émotionnel tombera toujours sur le jour de la semaine où nous sommes nés. (1)
le
jour critique émotionnel démarre déjà la veille au soir : un natif du
dimanche par exemple, aura son jour critique émotionnel toujours du
samedi soir au dimanche soir. il est important d'en tenir compte.
les
pulsions et les tensions d'un jour critique émotionnel sont variables
et fonction aussi de notre état physique, psychique, de notre situation
et de nos préoccupations : on peut ne rien ressentir ou remarquer, mais
souvent on est dans un état "différent", plutôt mélancolique. les personnes fragiles ou perturbées seront à ce moment-là particulièrement fragilisées. (2)
il est donc simple de se rappeler une fois pour toutes
que notre jour "particulier" ou "jour à risque" ou encore "jour
sensible" est le jour de la semaine où nous sommes nés. cela permet de
prévenir des ennuis et même des drames : il faut que ce jour là nous
soyons toujours particulièrement sur nos gardes, notamment en cas de difficulté, tensions et dispute, que nous sachions que certains types de pulsions (nous sommes poussés à agir, à nous emporter, alors qu'en même temps nous sommes désinhibés et nos freins (notre raison) sont "relâchés"
- sans toutefois que nous perdions nos facultés de gérer et décider...)
ce qui risque de nous faire agir de façon excessive parfois dans le
mauvais sens... : la plupart des faits divers graves et moins graves, de l'actualité, sont liés aux effets du jour critique émotionnel de leurs auteurs... (3)
il serait bien sûr nécessaire que la
science, la médecine, la psychiatrie, (qui ne connaissent pas encore son existence) s'intéressent à la question et étudient de près ce
mécanisme qui permet de comprendre et d'expliquer une grande partie de
nos problèmes et comportements, mais qui permettrait surtout aussi de les prévenir... : nous devons apprendre à gérer les effets de notre jour critique émotionnel...
(1) il peut exceptionnellement décaler d'un jour selon que l'on est né
très tôt ou très tard, près de 0 Heure. cela reste cependant à étudier.
(3) des "éléments pulsions" d'autres rythmes et cycles psychiques sont souvent associés (p.ex. épisode critique semestriel et/ou période critique septennale) cumulant ainsi les effets dans un épisode triple critique : cela est généralement nécessaire pour qu'un drame grave puisse arriver.
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