Depuis mardi 5 septembre, devant la cour d’assises de Loire-Atlantique, une mère comparait pour tentative d’assassinat sur son fils. ..., les psychiatres ont cherché à éclairer ses zones d’ombre.
Durant quatre jours, la cour d’assises de Loire-Atlantique juge une femme de 33 ans pour avoir tenté d’assassiner son enfant.
Sur la table basse du salon, dans la nuit du 19 au 20 janvier 2020, elle a laissé une lettre et des mots qui en disent long : " Ce monde n’est pas une vie. " Elle a 29 ans et a tenté de mettre fin à ses jours avec son fils de 3 ans dans une commune du nord de Nantes. Ce soir-là, alcoolisée, elle fait boire une potion médicamenteuse à son petit garçon puis en avale une autre. Celle de l’enfant, qui survivra, est beaucoup plus puissante. " J’ai inversé les tasses parce que j’avais bu ", dira-t-elle par la suite.(...)https://www.blogger.com/blog/post/edit/4813911213920244538/1519943242958801615
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(période critique septennale des 28 ans et probable dépression septennale - rythmes semestriel et courts à voir le 19/20 janvier 2020 : ils contiennent généralement les autres éléments déclencheurs)(curieusement la psychiatrie ne connait pas encore les rythmes psychiques humains généralement en cause lors d'actes désespérés)
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