La piste du meurtre suivi d'un suicide est privilégiée, après la découverte de deux corps samedi 1er avril dans un appartement de Bois-Guillaume, après un incendie.
La femme de 47 ans, ATSEM dans une école maternelle de Bihorel, retrouvée morte dans son appartement ce samedi 1er avril, a été tuée avant l'incendie de son logement, (...) à ses côtés gisait aussi le corps d'un homme, âgé de 36 ans, son ancien concubin, avec qui "elle avait repris la vie commune plusieurs semaines avant les faits", selon un témoin cité par le procureur.... Cet homme est décédé d'asphyxie pendant l'incendie,...Cet homme est connu de la justice, condamné à quatre reprises entre 2013 et 2017, indique le parquet, "notamment pour des faits de violences volontaires".
Sa concubine aujourd'hui décédée avait d'ailleurs porté plainte contre lui pour des faits de violences conjugales en octobre 2022. L'homme, en situation irrégulière sur le territoire, avait aussitôt fait l'objet d'une OQTF, le 29 octobre 2022. Une obligation de quitter le territoire français sans délai délivré par la Préfecture de la Seine-Maritime dès la fin de sa garde à vue et il avait été placé en centre de rétention administrative. Mais "48 heures après son placement en rétention, à l'occasion de la première prolongation de cette mesure, le juge des libertés et de la détention a refusé cette autorisation et l'individu a immédiatement été remis en liberté" indiquent les services de l'Etat.... Il était également connu pour des troubles psychiatriques, ayant déjà entraîné son hospitalisation sous contrainte.(...)https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/la-piste-du-feminicide-privilegiee-a-bois-guillaume-la-victime-avait-porte-plainte-contre-son-concubin-3923086
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les drames de ce type, et certains troubles psychiatriques, sont souvent liés aux rythmes psychiques des personnes, et les récidives ont tendance à avoir lieu en situations analogues, celle-ci se répétant à divers rythmes...
cela reste à vérifier plus précisément mais le 29 octobre 2022 semble bien être la même situation que celle du jour du drame le 1er avril. ensuite il semble s'agir d'une récidive septennale puisque drame de la période critique septennale des 35 ans alors que 2013 à 2017 est la période critique septennale précédente des 28 ans. les jours et périodes critiques sont des périodes/épisodes de pulsions, et donc à risque si une personne notamment a des problèmes psychiatrique et des antécédents... jours et périodes critiques sont connus à l'avance.
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