Laurent Bigorgne, l'ancien patron de l'Institut Montaigne, condamné à 12 mois de prison avec sursis pour avoir drogué une ex-collaboratrice
Selon le tribunal correctionnel, Laurent Bigorgne aurait administré cette drogue «afin de commettre à son égard un viol ou une agression sexuelle». (...) Sophie Conrad avait déposé plainte dans la nuit du 22 au 23 février, après un dîner au domicile de Laurent Bigorgne, qui était son supérieur, mais aussi l'ex-mari de sa sœur. Après une demi-coupe de champagne, elle avait ressenti des symptômes de prise de drogue et était parvenue à quitter les lieux pour se rendre à l'hôpital. Une expertise a ensuite révélé qu'elle avait absorbé de la MDMA, une drogue de synthèse de la famille des amphétamines aussi appelée ecstasy.
Placé en garde à vue, Laurent Bigorgne avait rapidement reconnu avoir pris ce soir-là de la cocaïne et versé de la MDMA dans le verre de Sophie Conrad, mais a toujours contesté une intention sexuelle. Il a démissionné de l'Institut Montaigne le 27 février, après onze ans à sa tête. (...)https://www.lefigaro.fr/faits-divers/laurent-bigorgne-l-ancien-patron-de-l-institut-montaigne-condamne-a-12-mois-avec-sursis-pour-avoir-drogue-une-ex-collaboratrice-20221208
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toujours prudence car les effets de pulsions et surtout de désinhibition de nos jours et périodes critiques peuvent nous inciter à avoir des comportements que l'on n'aurait pas en temps ordinaire : ici le jour critique intellectuel i1 - jour critique fort du cerveau - dans un épisode triple critique fort, en période critique septennale des 49 ans :
22/23 février 2022 (20/10/1974)
Ve 18
Sa 19 P(17)
Di 20 P(18) E(15)
Lu 21 P(19)
Ma 22 I(1)
Me 23
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