ou
un "drame humain", comment çà marche ?
les
drames humains comme les suicides, drames conjugaux, familiaux, et autres meurtres ou comportements dramatiques, etc...
ont tendance à arriver lorsque des tensions sont à leur comble. or ces "surplus de tensions" sont très souvent le fait d'éléments de notre psychisme : à un moment donné on "craque", on "dérape"... et c'est le drame. mais ce qui est intéressant c'est que ces éléments de notre psychisme qui nous font "déraper" sont toujours les mêmes et ils sont connus et repérables à l'avance :
en effet
- divers rythmes de pulsations démarrent au moment de la naissance de l'humain et se poursuivent avec une précision horlogère jusqu'à la fin de sa vie.
- ces pulsations ("jours et épisodes critiques") sont rythmées et comptées en jours, en semestres, et en années septennales.
- ces pulsations produisent chaque fois qu'elles arrivent un effet de "pulsions" et de "désinhibition" : les pulsions "poussent" à l'action alors que pour encore plus d'efficacité la désinhibition ôte les freins et les barrières présents naturellement.
- cela a pour conséquence que les différents drames humains souvent objets des "faits divers" de l'actualité arrivent essentiellement lors de ces "pulsations" que sont nos jours et épisodes critiques. alors qu'en dehors de ces jours et/ou épisodes critiques "çà ne casse pas" ou beaucoup moins... car nous ne sommes alors pas poussés à agir ou réagir, et surtout nous sommes freinés par nos inhibitions naturelles.
plus en détails :
ce sont donc essentiellement les jours et épisodes critiques de nos rythmes et cycles physiques et psychiques qui font les faits divers ...
leur présence est en effet quasi nécessaire pour que l'humain puisse "dépasser les limites" et ce sont eux qui vont contribuer à pousser à l'action et simultanément désinhiber afin d'ôter nos inhibitions naturelles.
tant
qu'ils ne sont pas là il ne se passera probablement pas grand
chose ou du moins les choses se passeront sans aller jusqu'à la catastrophe - nous supportons - mais c'est lorsqu'arrivent nos jours et épisodes critiques, que ceux-ci vont
constituer "la goutte qui fait déborder le vase"...
alors voici quels sont les jours et épisodes critiques - éléments déclencheurs que l'on trouvera généralement en regardant de plus près la situation des auteurs d'un fait divers et parfois des personnes impliquées... :
rythmes courts : (ces rythmes courts sont à calculer ici http://biorythm.online.fr/w/ - ils sont comptés en nombre de jours à partir du jour de naissance)
- jour critiques physiques P1 - P6/P7 - P12 et surtout P17/P18/P19 ("n" jours dans un rythme de 23 jours)
- jours critiques émotionnels E1 - E8 - E15 - E22 ("n" jours dans un rythme de 28 jours)(attention rythme important car très efficace et hebdomadaire : c'est toujours le jour de la semaine où l'on est né)(principal jour des drames en tout genre, comme aussi des suicides)
- jours critiques intellectuels i1 - i9 - i17 - i26 ("n" jours dans un rythme de 33 jours)(jours critiques du cerveau et de la pensée)
rythme semestriel : attention aux périodes autour de l'anniversaire mais aussi à six mois de là (5/7 mois)
cycles longs :
- périodes critiques septennales (ce sont nos années de vie septennales (âges de la table de 7) et à côté de ces années)
- années critiques d'un rythme physique de 23 ans : autour de 23 et 46 ans
- années critiques d'un rythme intellectuel de 33 ans : autour de 33 ans.
le
mécanisme de ces rythmes et cycles, qui démarrent le jour de notre
naissance, (je pense qu'il est hormonal), est très mathématique et d'une précision horlogère, de
sorte que l'on peut calculer et connaître à l'avance les périodes, épisodes et jours à risque : on aura compris que cela peut permettre une très efficace prévention.
les rythmes courts nous arrivant "au jour le jour" contiennent généralement l'élément déclencheur d'un drame le jour en question (ou à côté de ce jour). (et c'est donc surtout ce jour là qu'il convient de prêter attention à nos réactions et comportements)
les cycles longs et le rythme semestriel sont un "état" plus long lors duquel nous pouvons, en quelque sorte, être "mis en condition" et cela durant un certain moment.
les
jours critiques des rythmes courts nous
arrivent donc en période neutre mais ils arrivent aussi en période
critique de nos cycles longs ou rythmes semestriels, et ils seront alors
d'autant plus "à risque".
noter enfin que dans de nombreux "faits divers" la consommation d'alcool est aussi présente et en cause : la désinhibition liée à l'alcoolisation se cumule avec celle des jours et éléments critiques des rythmes psychiques, contribuant ainsi à accentuer encore les risques. sachant enfin que la situation en jour ou épisode critique peut, en raison d'une possible humeur plus ou moins dépressive, accentuer l'envie de boire...
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