samedi 29 janvier 2022

suicides

Un début d’année particulièrement noir pour la police. Jeudi, un agent administratif du commissariat de Rennes, âgé de 35 ans, s’est suicidé en se jetant du toit de l’immeuble. Quelques jours plus tôt, c’est un jeune fonctionnaire de la BST de Marseille (âgé de 22 ans) qui s’est donné la mort avec son arme de service. Depuis le 1er janvier, dix policiers et un gendarme se sont suicidés. ​(...) 39 % des agents en détresse psychique Selon le baromètre de la Mutuelle des forces de sécurité (MGP), publié en juin 2021, 24 % des 6.000 policiers interrogés ont reconnu avoir eu des pensées suicidaires ou entendu leurs collègues évoquer des pensées suicidaires au cours des douze derniers mois. Par ailleurs, 39 % des agents seraient en détresse psychique selon cette étude (...)https://www.20minutes.fr/societe/3225539-20220128-police-peut-sortir-indemne-metier-solutions-endiguer-vague-suicides-policiers 
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pour tenter de changer le cours des choses il faut s'intéresser aux éléments moteurs des pensées suicidaires et des suicides... les deux cas cités sont des suicides septennaux liés aux périodes critiques septennales des 35 et des 21 ans...
les pourcentages de détresse cités sont à mettre en parallèle avec la survenance naturelle, régulière et fréquente pour certains, d'éléments fragilisants : ces éléments peuvent être la cause de situations de détresse d'intensité diverse selon les capacités de résistance et de résilience.
(le drame cité dans mon post précédent est peut-être aussi une illustration de ce mécanisme : dépression septennale de la période critique de 28 ans pouvant déboucher sur des pensées suicidaires, de la violence, voire exceptionnellement, un drame) 
 

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