Un homme jugé pour violences conjugales : « Ça a été l’escalade »
Un homme de 49 ans était jugé ce jeudi 21 octobre pour des violences habituelles. Le mari aurait levé à maintes reprises la main sur sa compagne dès 2013, et de façon plus répétée en 2018 et 2019. Faits qu’il reconnaît, mais dont il minimise l’importance. (...) « Des fois, c’était pour rien. Je balançais la vaisselle… Ça allait crescendo. Je n’ai pas su gérer et ça, je le regrette. » (...) la colère de Monsieur est imprévisible. Madame vérifiait tout à la maison pour qu’il n’y ait rien qui l’énerve, mais il y avait toujours quelque chose qui le faisait exploser », souligne l’avocate de la défense. (...)
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les violences conjugales sont probablement majoritairement liées à la situation des rythmes psychiques des personnes : dès 2013 c'est dès l'arrivée de la période critique septennale des 42 ans (actuellement celle des 49 ans) 2018 étant l'année "sensible" P1 des 46/47 ans... imprévisible pas toujours, le jour critique émotionnel hebdomadaire pouvant par exemple être la cause de gros coups de colère "pour rien" : c'est selon les personnes et les rythmes doivent être analysés et observés individuellement pour résoudre les problèmes de comportements... le crescendo est effectivement souvent présent et je l'avais aussi constaté... reste à l'expliquer... (1)
(1) https://rythmescycleshumains.blogspot.com/p/en-pratique.html (crescendo)
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