Phobie d'impulsion: quand la peur de commettre l'irréparable nous envahit
Foncer en voiture dans un mur, jeter son bébé par la fenêtre, pousser quelqu'un sous le métro... Des images mentales d'actes violents que l'on ne commettra jamais s'imposent parfois à nous. Mais chez certains, cela peut devenir une obsession douloureuse...
Sabrina avait tout juste 20 ans quand le cauchemar a commencé: elle s'est mise à imaginer qu'elle allait pousser son compagnon dans la Loire lors de leurs promenades quotidiennes le long du fleuve. « Ces images s'imposaient à moi et m'effrayaient, je n'osais plus m'approcher du bord », raconte-t-elle. Des années plus tard, elle dut cacher les couteaux de sa maison de peur de poignarder quelqu'un. « Je voyais des scènes d'horreur dans ma tête, je m'en voulais terriblement. J'avais peur d'être quelqu'un de mauvais », poursuit la quadragénaire. En cherchant un jour sur Internet, elle a mis le doigt sur son trouble : « phobie d'impulsion ».(...)
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à 20 ans on entre dans la période critique septennale des 21 ans avec tous les risques d'effets que cela peut comporter, dont les risques d'impulsions par exemple lors d'un jour critique émotionnel, (principal jour de "mise à exécution" de ces impulsions) mais d'autres aussi... les impulsions sont probablement des effets liés aux jours et épisodes critiques des rythmes psychiques... (mais cela reste à découvrir et étudier lorsque l'on s'intéressera aux rythmes psychiques de l'humain) (des années plus tard c'est probablement la période critique suivante des 28 ans ou encore celle des 35 ans..)
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