Un homme de 42 ans décrit comme violent par son entourage a démonté son appartement lorsqu’en rentrant du travail, il a constaté que son repas n’était pas prêt.
La femme du prévenu explique : « Je vis sur le qui-vive. Il est incontrôlable et imprévisible ». Leur relation a toujours été conflictuelle. En Algérie déjà. Puis à Thionville où il a rejoint sa femme et ses enfants il y a quatre ans. Le 2 juin dernier, le père de famille de 42 ans rentre à son domicile. Il est 14 h 30. Il n’a pas déjeuné et espère trouver son repas, prêt, sur la table.... Furieux, il saisit sa femme à la gorge, l’insulte et la menace : « Si tu passes cette porte, je tue les enfants ».(...)« Au fil des mois, des années, c’est monté crescendo », témoigne son épouse présente à l’audience. (...) condamné à douze mois d’emprisonnement dont cinq
avec sursis mise à l’épreuve de deux ans, interdiction d’entrer en
contact avec sa femme et de se présenter au domicile
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(période critique septennale des 42 ans : rythmes courts à voir car le jour critique émotionnel peut donner lieu à des violences quasi hebdomadaires... crescendo que j'ai relevé aussi à force de le trouver, apparemment au fur et à mesure de l'arrivée des jours et épisodes critiques)
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