les rythmes psychiques de l'humain ne sont pas connus et pourtant ils sont probablement à l'origine de la plupart des faits divers de l'actualité...
le psychisme humain n'est en effet pas constant mais pulse à intervalles très réguliers : ces pulsations jours et épisodes "critiques" ont pour propriété de produire un effet de pulsion (nous sommes poussés à agir) et de désinhibition (nous ne sommes pas retenus d'agir) (même parfois dans le mauvais sens)...
c'est ce qui fait qu'en regardant la situation des rythmes psychiques des personnes auteurs d'un drame (parfois aussi de la victime) on trouvera généralement les éléments "déclencheurs" ou "moteurs" de ce drame... un peu grâce auxquels le drame est "déclenché"... : en l'absence de ces éléments il est en effet bien moins probable qu'un drame arrive...
et le drame arrive entre autre pour des raisons "mécaniques" liées à nos rythmes psychiques : lorsque, par suite d'une accumulation de soucis et de tensions, dépression, arrive une "fenêtre" ou "maillon faible" des rythmes psychiques.
les jours et épisodes critiques (les principaux souvent en cause étant le jour critique émotionnel hebdomadaire (surtout), l'épisode physique et émotionnel P17/P19 tous les 23 jours, l'épisode critique semestriel et la période critique septennale) ont en effet pour propriété d'exacerber et de "gonfler" les soucis, rancunes, mauvaises humeurs, colères... et d'ôter nos peurs et réticences ... si les autres jours nous nous contenons, c'est lorsqu'arrive un jour critique que cet élément déclencheur risque d'inciter à l'action, au débordement... et si le cap passe, le risque sera pour le jour critique suivant, puisqu'ils sont fréquents... (ils nous arrivent séparément ou à plusieurs, dans ce cas plus "forts" : c'est pour cela que plusieurs éléments critiques déclencheurs/moteurs sont généralement présents lorsqu'arrive un drame)
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