Au procès de l'assassinat de Julie Douib, un accusé obsédé par ses enfants Si Bruno Garcia-Cruciani a reconnu avoir tué son ex-conjointe, il n'a pas eu un mot pour la famille de la victime, qui selon lui le coupe de ses deux fils.
«Ma place est bien en prison. C'est bien moi qui ai commis cet acte.» Depuis le box des accusés, mains croisées derrière le dos, Bruno Garcia-Cruciani assume avoir tué son ex-compagne Julie Douib le 3 mars 2019 à L'Île-Rousse. Mais celui qui encourt la perpétuité ne s'étend pas sur les faits qui lui sont reprochés. «Il s'est passé un drame qui n'aurait jamais dû arriver. Il y a eu un premier tir, après c'est allé très vite. Je n'ai rien d'autre à ajouter.» (...)
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une donnée de naissance permet de voir la situation des rythmes psychiques de l'accusé car ils jouent généralement un rôle lors d'un drame de ce type. (un drame n'arrive pas ou plus difficilement en l'absence d'éléments qui poussent à l'action et désinhibent) et les éléments critiques sont effectivement présents ici :
3 mars 2019 (29/06/1976)(jour critique physique et émotionnel P17 dans un épisode double critique dont P17/P19 et le jour critique émotionnel E22)(i9 se situe le 28 février)(un drame de la période critique septennale des 42 ans)
Je 28 I(9)
Ve 1
Sa 2
Di 3 P(17)
Lu 4 P(18)
Ma 5 P(19) E(22)
Me 6
Je 7
(mardi 15 juin est jour critique émotionnel E15, ce qui peut avoir une incidence sur un comportement, lors d'une audience)
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