Suicide de la gendarme Myriam Sakhri : la famille demande la réouverture de l’enquête pour harcèlement
Cette sous-officier de 32 ans s’était donné la mort en septembre 2011, alors qu’elle dénonçait depuis des mois le comportement de ses collègues et de sa hiérarchie.
Selon les conclusions de l’enquête, rendues six mois après son décès, cette sous-officier de 32 ans s’est tiré une balle dans la poitrine dans son logement de fonction : un suicide pour « raisons personnelles ». Deux mots qui ne passent pas pour les proches. Et pas seulement parce que Myriam Sakhri a laissé un mot désignant nommément son supérieur direct, un colonel devenu général de brigade depuis, rédigé en ces termes : « Merci à G. le connard !! » Mais parce qu’ils considèrent que la jeune femme a fait l’objet d’un harcèlement constant de la part d’autres militaires, les mois précédant sa mort, en étant notamment victime de propos racistes, sans que la hiérarchie n’intervienne. (...)
édit voir aussi “Myriam ne s’est pas suicidée.” 7 ans après, la famille de la gendarme Sakhri dénonce l’enquête partiale"
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les suicides ont tendance à intervenir le jour critique émotionnel ou à côté, ce qui est aussi le cas ici, en situation critique des trois rythmes... un éventuel harcèlement peut alors contribuer à fragiliser et accentuer un risque de passage à l'acte...
24 septembre 2011 (14/09/1979)(jour critique intellectuel i17 le lendemain du jour critique émotionnel E22 en épisode critique semestriel (proximité anniversaire) en année critique intellectuelle i1)
Me 21 P(12)
Je 22
Ve 23 E(22)
Sa 24 I(17)
Di 25
Lu 26 P(17)
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