dimanche 22 mars 2020

confinement et violences conjugales

Confinement dans les Yvelines : les violences conjugales se multiplient Des disputes, des insultes puis parfois des coups. C'était malheureusement à craindre dans le cadre du confinement, cela se vérifie ces derniers jours : les policiers multiplient les interventions pour violences conjugales. Au cours du week-end encore, de nombreuses personnes se sont ainsi retrouvées au commissariat et pour certaines placées en garde à vue. Exemple à Trappes samedi, où une dispute entre époux a éclaté sur fond de factures impayées avant de dégénérer. Idem à Versailles un peu plus tard dans la journée où une femme a contacté la police après avoir reçu des gifles. Son conjoint a été placé en garde à vue. Plus grave encore à Limay, où un homme de 41 ans a été arrêté après avoir donné des coups de ceinture à sa compagne tout en l'agrippant par le cou. Devant les policiers, il a justifié son geste par… « un manque d'obéissance ».
En fin d'après-midi à l'Etang-la-Ville, un homme de 48 ans a par exemple lui aussi été interpellé après avoir frappé sa femme à coup de… Sèche-cheveux. ...à Achères vers 23h15, où un différend chez un couple connu des services de police a éclaté, visiblement sur fond d'alcool. La femme de 56 ans a raconté avoir reçu des coups au visage, ce qu'ont confirmé les premières constatations. Son mari a été placé en garde à vue. Enfin peu avant 3 heures du matin, les policiers se sont rendus au Port-Marly pour y interpeller un homme de 36 ans qui avait blessé sa femme à la lèvre. (...)
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/confinement-dans-les-yvelines-les-violences-conjugales-se-multiplient-22-03-2020-8285547.php
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les violences - conjugales aussi - sont très souvent liées aux jours et épisodes critiques des rythmes psychiques de l'humain, ceci parce que l'on est alors désinhibé, "débridé" en quelque sorte : notre éventuel état dépressif et/ou de colère remonte et nos freins sont enlevés : pour preuve, tous les cas dont les âges sont cités dans l'article sont des "septennaux" (périodes critiques septennales des 35, 42, 49 et 56 ans, des éléments critiques pouvant aussi se trouver chez une victime) (les rythmes courts des personnes seraient à voir car généralement les éléments déclencheurs s'y trouvent sous la forme d'un jour ou épisode critique) un confinement va encore accentuer les effets, mais tout ceci changera quand même lorsque les rythmes et cycles psychiques humains auront été expliqués de sorte que l'on pourra mieux se maîtriser et que l'on se fera moins piéger par nos pulsions...
http://rythmescycleshumains.blogspot.com/p/de-la-dispute-au-feminicide.html

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