samedi 14 décembre 2019

disparitions

elles ont tendance à survenir surtout le jour critique émotionnel (voir deux posts précédents) (ou jour voisin) et/ou en épisode critique semestriel et/ou en période critique septennale et elles ne sont pas sans risque, à ce moment-là, s'agissant d'éléments "désespoir", "colère", "prise de risque" et remise en cause ... de tout..., le risque va être accentué par l'effet de désinhibition (absence de peur et de freins) lié aux jours et épisodes critiques, ce qui peut alors inciter à des actes et comportements extrêmes...
(l'épisode critique physique P17/P18/P19 peut aussi être en cause, car équivalent du jour critique émotionnel)(et il n'y a pas forcément de signe précurseur, l'une des particularités du jour critique émotionnel étant qu'il peut amener une décision ou un changement inattendu "sur le champ")
prévention : il faut toujours avoir présent à l'esprit que notre jour critique émotionnel, nos épisodes critiques semestriels et nos périodes critiques septennales sont des éléments qui ont la propriété de "grossir" la perception de nos problèmes. ils peuvent nous faire avoir des réactions excessives, pouvant parfois conduire à prendre de gros risques (le jour critique émotionnel est aussi, pour cela, le "jour du suicide").
si on a pris le pli, on sait qu'il est indispensable de relativiser et se maîtriser, de s'interdire des actes graves, auxquels nous pourrions être poussés parce que nous nous trouvons momentanément en situation de pulsions/désinhibition de notre psychisme. en quelque sorte ne pas se "faire piéger", se surveiller et "se tenir à carreau" notre jour critique émotionnel. (c'est toujours le jour de la semaine où nous sommes nés - donc attention à sa survenance hebdomadaire : il est le  résultat d'un rythme psychique à pulsation de notre humeur chaque septième jour de notre vie)... on peut réellement dire que "demain çà ira mieux", ce qui est généralement le cas une fois le jour critique passé. (surveiller toutefois aussi les jours qui entourent le jour critique émotionnel - jour avant et jour après - car l'effet peut se communiquer)

pour les fugues c'est un peu la même chose : elles ont tendance à intervenir lors de situations perçues comme étant intenables, de marre et ras-le-bol, de colère et disputes, aussi. et cela a tendance à se produire surtout aussi notre jour critique émotionnel qui est notre "jour de colère" et de "jour de la goutte qui fait déborder le vase". nos épisodes critiques semestriels et périodes critiques septennales (celle des 14 ans lors de fugues d'adolescents) peuvent également être en cause.
et là aussi la prévention consiste à se remémorer de "prendre des gants" lorsque quelqu'un se trouve en jour ou période critique, comprendre et surveiller nos éventuelles réactions excessives, car liées à notre situation en épisode sensible. relativiser la "taille" et l'ampleur de nos malheurs car ils sont généralement grossis par notre situation en jour ou période critique, ceux-ci ayant la propriété d'amplifier considérablement notre ressenti et nos émotions, donc aussi nos réactions. 
prudence aussi car en cas de fugues d'enfants ou d'ados, en jour/période critique on peut être plus enclin à des prises de risques, des contacts étrangers qui pourraient alors s'avérer à risques (mauvaises rencontres).

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