lundi 9 septembre 2019

violences habituelles

Humiliée et battue par son ami, elle se réfugie chez une voisine Quand elle tente de rentrer chez elle, dimanche soir, une habitante de Valentigney doit faire face à son concubin. Il refuse de la laisser entrer : « Je veux divorcer », lui hurle-t-il devant leurs trois enfants. Esseulée, la jeune femme, 36 ans, qui peine à s’exprimer en français, sonne chez la voisine en bien piteux état. (...) L’homme, 37 ans, est interpellé dans la foulée. Face aux forces de l’ordre, il se montre curieusement moins véhément et moins sûr de lui. La victime est emmenée chez son médecin qui fixe l’incapacité temporaire de travail à 12 jours. ....La dame, lors de son dépôt de plainte, raconte son quotidien. Elle vit en concubinage avec le suspect depuis treize ans. Depuis deux ans, les violences seraient habituelles, les humiliations également.(...)Le Doubien serait récidiviste. Il aurait été condamné en 2004 et en 2017 pour des délits similaires. (...)
https://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2019/09/09/humiliee-et-battue-par-son-ami-elle-se-refugie-chez-une-voisine
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tout cela ira mieux lorsque l'on s'intéressera aux rythmes psychiques humains : "depuis deux ans les violences sont devenues habituelles" c'est à dire depuis la période critique septennale des 35 ans... une condamnation en 2017 c'est effectivement ... la période critique septennale des 35 ans... et une autre condamnation en 2004 c'est la période critique septennale des 21 ans... donc effectivement récidiviste septennal...
les violences ayant tendance à avoir lieu le jour critique émotionnel hebdomadaire et peuvent devenir habituelles... : les rythmes semestriels et courts sont à voir, y compris ceux de l'épouse, puisqu'il semble y avoir une situation de compatibilité pour les rythmes longs (périodes critiques septennales communes/successives, aujourd'hui des 35 ans) ... 

http://rythmescycleshumains.blogspot.com/p/de-la-dispute-au-feminicide.html

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