dimanche 1 septembre 2019

jambes sans repos

Syndrome des jambes sans repos : un risque de suicide trois fois supérieur Pénible, voire douloureux, le syndrome des jambes sans repos nuit fortement à la qualité de vie des personnes qui en souffrent. Une nouvelle étude montre qu’il serait associé à un risque de suicide et d’automutilation trois fois supérieur à la moyenne. Des picotements, des fourmillements, des contractures ou des démangeaisons, mais aussi des sensations de brûlure ou de décharge électrique soudaine dans les jambes… Voici les symptômes avec lesquels doivent vivre les 2 à 8% de la population française souffrant du syndrome des jambes sans repos, aussi connu sous le nom de maladie de Willis-Ekbom. Une nouvelle étude, menée par la Penn State University, aux États-Unis, et publiée dans JAMA Open Network, montre que ces symptômes désagréables, voire douloureux, ne nuisent pas seulement à la qualité du sommeil : ils dégradent aussi fortement la qualité de vie et peuvent, dans les cas les plus graves, mener au suicide ou à l’automutilation. "Notre étude suggère que le syndrome des jambes sans repos n'est pas seulement lié aux conditions physiques, mais aussi à la santé mentale", explique ainsi Xiang Gao, professeur agrégé de sciences de la nutrition et directeur du Nutritional Epidemiology Lab à Penn State.(...)
https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/30121-Syndrome-jambes-repos-risque-suicide-fois-superieur
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(liens à voir avec le jour critique physique - c'est une pulsation chaque sixième jour de la vie - et les périodes critiques septennales)

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