jeudi 29 août 2019

thérapie

Un Vésulien de 41 ans a été condamné mardi à 12 mois d’emprisonnement, dont 6 mois ferme. Le 24 août, alors que le couple fêtait quatre années de relations tumultueuses, la situation, sur fond de forte alcoolisation et de jalousie, avait dégénéré (...) Mais après quelques verres de vodka, la situation avait dégénéré. Elle lui aurait dit « de dégager ». Il l’aurait « oppressée. Il m’a serrée », affirme la jeune femme, qui a déposé plainte. Le visiteur avait fini par partir, par prendre le volant malgré près de 2 g/l d’alcool dans le sang et sans permis de conduire valable comme l’a constaté une patrouille de police venue l’intercepter. (...) le mis en cause, âgé de 41 ans, reconnaît qu’il a « un gros travail à faire. Nous avions prévu de suivre une thérapie de couple ».(...)Condamné à trois mois ferme, en septembre 2018, pour des faits identiques, le prévenu avait purgé sa peine dans les locaux d’Auviv (AUteurs et VIctimes de Violences). Condamné mardi à un an d’emprisonnement, dont six mois prononcés avec sursis et mise à épreuve, c’est en maison d’arrêt qu’il a été orienté après que le maintien en détention a été prononcé, tout comme l’annulation de son permis de conduire pour une durée de six mois et la confiscation de sa voiture Peugeot. Sa victime ne s’est pas portée partie civile. Pourquoi ? « Je ne lui veux pas de mal, je l’aime… »
https://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2019/08/29/le-probleme-ce-n-est-pas-l-amour-c-est-la-violence
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(période critique septennale des 42 ans - rythmes courts des deux personnes à voir car certaines formes de compatibilité peuvent générer des tensions)

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