féminicides

Féminicides : des meurtres dans toute la France et majoritairement à domicile Depuis plus de deux ans, «Libération» recense les féminicides survenus en France. L'analyse de ces données révèle notamment que ces meurtres conjugaux sont très majoritairement commis au domicile de la victime, au moment d'une séparation. (...)Quels liens entre Monica, employée dans un centre d’appels de 29 ans, tuée à coups de couteau par son conjoint le samedi 5 janvier après une soirée à jouer aux cartes dans leur appartement toulousain, alors que leur fille de 6 ans dormait dans sa chambre, et Pascale, 56 ans, abattue par Robert, dans leur petite maison des Yvelines ?(...) Même s’il n’est pas possible de déterminer quel schéma malsain peut conduire à tuer sa conjointe, (...)Dans près de la moitié des cas (44,5%) les auteurs tuent leur compagne au moment d’une séparation(...). Leur principale motivation demeure la dispute, suivie de près par le refus de la séparation».(...) https://www.liberation.fr/france/2019/03/08/feminicides-des-meurtres-dans-toute-la-france-et-majoritairement-a-domicile_1712410
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quel lien entre Monica et Pascale ? elles sont toutes deux dans l'une de leurs périodes critiques septennales... (périodes critiques septennales des 28 et 56 ans). reste à voir la situation des conjoints. (édit et ss réserve resp. 26 ans = année i26 et 69 ans = période critique septennale des 70 ans - rythmes courts à voir le jour des drames)

voici le schéma habituel d'un drame. il reste à confirmer :
 - survenance chez l'un ou l'autre des partenaires d'un jour ou épisode critique psychique qui va conduire à une remise en cause de la situation... cela va pouvoir déboucher sur des différends et disputes voire une volonté et décision de séparation, donc de fortes tensions sont possibles.
- les épisodes critiques de nos rythmes psychiques nous arrivent à un rythme très régulier, de sorte qu'il peut se produire un crescendo des tensions lors des épisodes successifs, qui pourra être la cause de violences voire exceptionnellement se terminer par un drame.
- les éléments en cause et que l'on devrait trouver (plus souvent chez l'auteur d'un drame mais aussi parfois chez la victime, voire les deux) en analysant un drame sont les suivants :  
jour ou épisode critique des rythmes courts, surtout jour critique émotionnel, épisode critique semestriel, année critique septennale ou année critique physique. un seul de ces éléments peut être suffisant pour causer un drame, mais souvent plusieurs sont en cause car survenant ensemble.
 (trois types de rythmes sont essentiellement en cause, en tant que "déclencheurs" : des rythmes courts qui nous arrivent en "jours" (le jour critique émotionnel par exemple est hebdomadaire : il est le plus fréquent jour des violences et drames - toujours le jour de la semaine où nous sommes nés), un rythme moyen car semestriel (épisodes critiques autour de l'anniversaire et à l'opposé à six mois de là), des rythmes longs essentiellement le rythme de nos années septennales (nos âges de la table de sept et autour)

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