coeur brisé

Anna meurt du «syndrome du cœur brisé»: son mari avait violé et tué sa fille (6) et l’avait pendue avec son jouet préféré six mois plus tôt  En Russie, Anna Zubko est morte du « syndrome du cœur brisé », après une pneumonie qu’elle n’a pas traitée. ...Yaroslav Oleinikov, son mari, risque jusqu’à 20 ans de prison. Yaroslav Oleinikov est accusé du meurtre et du viol à répétition de Veronika, sa fille de 6 ans. Après l’avoir violée et étranglée, il l’aurait pendue à une clôture avec son jouet préféré d’après la police russe, à Rostov-sur-le-Don. Au chômage, il était censé s’occuper des enfants pendant que son épouse, Anna Zubko, travaillait en tant que femme de ménage dans un supermarché. Après cette tragédie, Anna Zubko est tombé dans une profonde dépression sans demander d’aide médicale. La jeune femme de 27 ans, qui rêvait d’être maman et d’avoir un mari, a vu son fils de 3 ans placé dans un orphelinat dans les jours qui ont suivi l’enterrement de sa fille. Elle n’a rien fait pour traiter son rhume qui s’est rapidement dégradé à cause de l’indifférence de la jeune femme, se transformant en pneumonie. Elle est morte quelques mois plus tard d’un arrêt cardiaque, causé par ce qui s’appelle le « syndrome du cœur brisé » : « Cela arrive après une grosse émotion et peut être psychologique ou un gros stress physique. Le cerveau se met en mode « agression absolue » et secrète les hormones du stress (l’adrénaline, par exemple). Elles vont se placer sur le cœur et le paralyser. Il s’agit donc en réalité d’une crise cardiaque », explique Claire Mounier-Vehier, présidente de la Fédération française de cardiologie au quotidien français 20 minutes.(...)
https://www.sudinfo.be/id106183/article/2019-03-08/anna-meurt-du-syndrome-du-coeur-brise-son-mari-avait-viole-et-tue-sa-fille-6-et
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(le mari âgé de 28 ans, il s'agit d'un drame des périodes critiques septennales communes des 28 ans : dépression septennale de l'épouse, accentuée par le drame arrivé, et pour le mari suite des éléments déclencheurs probablement psychiatriques, à voir dans les rythmes courts le jour du drame)