Bischheim : il rosse son fils de 14 ans avec un bâton
Un père de famille a été jugé lundi en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Strasbourg. Excédé par les errements de son fils adolescent, il l’avait roué de coups le 20 décembre au soir à la Ballastière de Bischheim.
La mine penaude dans le box, le prévenu de 34 ans admet qu’il « [s’]emporte assez rapidement ». Il aurait du mal à chicaner : trois des neuf mentions figurant à son casier judiciaire sont relatives à des faits de violence.
S’il a « pété un plomb » dans la soirée du 20 décembre, c’est parce qu’il était « à bout ».(...)Son épouse pense qu’il a « un problème psychologique. Il est trop nerveux ».
Le procureur Gueorgui Varbanov ne trouve « ni justification, ni explication ». « Vous êtes complètement à côté de la plaque », lance-t-il au père de famille, avant de réclamer une sanction exemplaire.
En prononçant une peine de deux ans d’emprisonnement dont dix-huit mois ferme, les juges sont même allés au-delà de ses réquisitions. A la fin de son incarcération, l’homme devrait se soumettre à une mise à l’épreuve pendant deux ans, avec l’obligation de se soigner.
https://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2018/12/24/bischheim-il-rosse-son-fils-de-14-ans-avec-un-baton
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l'explication est généralement à chercher dans les rythmes psychiques des personnes, pour remédier à ce genre de comportements : le père vient apparemment d'entrer dans sa période critique septennale des 35 ans, alors que l'adolescent "rebelle" - enfant septennal - se trouve dans sa période critique septennale des 14 ans. les rythmes semestriels et surtout les rythmes courts sont ensuite à voir car nous avons, avec le jour critique émotionnel, chaque semaine un "jour à risque de péter les plombs"... ou un "jour rébellion"... si par hasard ceux du père et du fils se rencontrent cela peut souvent donner lieu à des problèmes.
à voir aussi les situations lors des violences précédentes, car elles surviennent fréquemment en situations analogues et leur analyse permet de connaître les éléments psychiques éventuellement en cause.
la solution se trouve donc dans la connaissance mutuelle des rythmes de chacun et ensuite de l'apprentissage à gérer les jours et épisodes critiques - connus à l'avance - des rythmes psychiques humains : le jour critique émotionnel est hebdomadaire, donc à risque fréquent... alors qu'à 34 ans la période critique longue peut variablement durer de un à deux ans et la période suivante interviendra à 41 ans. souvent la mise à l'épreuve et les soins se situent en dehors des périodes critiques (comme c'est le cas ici) de sorte qu'il y a en principe moins de risques, et on se croit "guéri" ... mais les problèmes ont tendance à resurgir avec la période critique septennale suivante, ici à 41 ans... dans des "récidives septennales"...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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