il est rare que les rythmes psychiques d'une personne ne
correspondent pas à ses actes si ceux-ci sont d'une certaines gravité,
voire sont exceptionnels ou "extraordinaires", comme l'est un meurtre, un suicide ou un autre drame.
une telle action nécessite en effet une énergie et un "laisser-passer" de
notre psychisme car en principe nous sommes inhibés face à des actions violentes...
et ce sont les
épisodes critiques de nos rythmes et cycles psychiques - en produisant un effet de pulsions et une désinhibition momentanés - qui vont constituer périodiquement ces "fenêtres" lors desquelles - si nous sommes fragilisés pour une raison ou une autre - nous pouvons être poussés à ces actes exceptionnels.
ces éléments sont souvent aussi en cause lors de la survenance et de l'escalade d'une dispute, par exemple... expliquant alors que elle-ci puisse se transformer en drame...
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