Lorsqu’elle découvre l’horrible secret de son père, elle le frappe avec une pelle avant de lui trancher la gorge
Elle a complètement perdu le contrôle.
Barbara Coombes était en train de jardiner sur le terrain de son père Kenneth, en 2006, en Angleterre. Quand elle est entrée dans la maison, elle a trouvé une boîte avec des photos à l'intérieur.
Elle a regardé les photos et c'est là qu'elle a découvert une série de clichés pornographiques de jeunes enfants, y compris d'elle-même quand elle était petite.
Après 40 ans d'abus, Barbara a complètement perdu le contrôle.
«Dans un accès de dégoût et d’incrédulité, j’ai ramassé la pelle avec laquelle j’avais travaillé dans le jardin et je me suis dirigé vers le salon où se trouvait mon père», a raconté Barbara au tribunal.
Elle a frappé son père de 87 ans à l'arrière de la tête avec la pelle. Quand il s'est retourné, elle lui a donné un deuxième coup de pelle en plein visage. Elle lui a ensuite tranché la gorge et elle l'a «regardé se vider de son sang».
Barbara a ensuite enroulé le cadavre dans un tapis et elle l'a enterré derrière un arbre dans le jardin.
Le corps de Kenneth est resté là pendant 12 ans! Barbara a raconté à la famille et aux amis que son père était décédé à l'hôpital et qu'elle l'avait fait incinérer.
Barbara s'est débarassée de tous les objets appartenant à son père et elle a vécu dans sa maison pendant ces 12 années. Elle a aussi caché la mort de son père aux autorités, touchant 238 221$ d'aide sociale au nom de son père pendant cette période.
En janvier dernier, un agent a demandé à rencontrer Kenneth pour continuer les versements. La veille du rendez-vous, Barbara s'est livrée à la police et elle a tout révélé. Elle a raconté aux policiers que son père l'utilisait comme esclave sexuelle depuis qu'elle avait cinq ans. Les abus auraient duré 40 ans.
Barbara a plaidé coupable aux accusations de meurtre et de fraude. En cour, le juge a reconnu que Barbara a connu une vie entière d'abus et de souffrances, mais qu'il s'inquiète du fait qu'elle ne semble présenter aucun remords. Elle a finalement été condamnée à purger une peine de prison de neuf ans. Son histoire d'horreur s'échelonnant sur plus de quatre décennies n'aura donc pas été suffisante pour pardonner ses gestes.
Source : Ayoye le 14 juillet 2018
http://www.skcenter.be/phpbb/viewtopic.php?f=32&t=2825&sid=d62baaf32274f0c685b5fb47bde107ef
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(les abus ont commencé alors qu'elle avait cinq ans, c'est à dire il y a 58 ans puisque la personne a 63 ans aujourd'hui. ce qui permet de voir que l'abuseur a "démarré" ses méfaits lors de sa période critique septennale des 28 ans.)(les pulsions sont particulières et importantes, en période critique septennale, celles des 35 ans puis en second celle des 28 ans, étant les plus importantes en matière de pédophilie septennale)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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