samedi 9 juin 2018

désinhibiteurs

Folie meurtrière, suicide : le rôle que pourraient jouer les antidépresseurs et les anxiolytiques Les antidépresseurs et tranquillisants peuvent favoriser les tentatives de suicide, comme l’attestent de nombreuses études. Plus inquiétant : de nouvelles recherches suggèrent que ces antidépresseurs, et même des analgésiques courants et en vente libre, pourraient jouer un rôle dans les passages à l’acte meurtriers. Après un crime, tout le monde n’a qu’une question en tête : quelles sont les motivations du tueur ? Comment a-t-il pu intenter à la vie d’autrui ? Des livres entiers ont été écrits pour tenter de comprendre le parcours de vie et la psyché de meurtriers tristement célèbres. Mais on s’interroge rarement sur les psychotropes ou les médicaments qu’ils prenaient.(...)
http://echelledejacob.blogspot.com/2018/06/folie-meurtriere-suicide-le-role-que.html
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psychotropes et médicaments ont tendance à provoquer une désinhibition afin "que l'on se sente mieux". mais cet effet va pouvoir se cumuler le moment venu avec le même effet de désinhibition que produisent périodiquement les jours et épisodes critiques de nos rythmes psychiques naturels et cela peut alors contribuer à augmenter les risques de passages à l'acte suicidaires ou criminels. ce qui explique la présence, lorsque l'on analyse les situations de leurs auteurs, de certains éléments moteurs type. (c'est le cas des différents drames cités)

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