Une détenue du centre pénitentiaire de Nancy-Maxéville a été découverte sans vie dans sa cellule, ce mercredi matin, vers 7 h. La victime était âgée de 47 ans. Elle avait été condamnée en juin dernier à six ans d’emprisonnement par la cour d’Assises des Vosges pour tentative de meurtre. Une peine assortie de 5 années de suivi socio-judiciaire.
Les faits s'étaient déroulés le 13 janvier 2015 à Raon-l'Etape, dans les Vosges. La quadragénaire, détenue depuis cette tentative, avait frappé d’un coup de couteau au thorax sa belle-sœur de 43 ans, assoupie sur le canapé, avant d’aller se dénoncer à la gendarmerie. Le coup qui aurait pu être mortel, n’avait heureusement occasionné que des blessures légères.
Une enquête ouverte
Mardi, la détenue avait un rendez-vous judiciaire pour un éventuel aménagement de peine mais elle aurait refusé de s’y rendre. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les causes de la mort. A priori, la quadragénaire, en proie à des problèmes psychiatriques, était seule dans sa cellule du « quartier femmes ». Les secours n’ont pas pu la réanimer.
En moins d’un mois, c’est la deuxième détenue du centre pénitentiaire de Nancy-Maxéville qui décède en détention. Dans la nuit du 30 avril au 1er mai, Muriel Schroer, une Mosellane de 48 ans, avait mis fin à ses jours dans sa cellule nancéienne. Malgré l’intervention des pompiers et du SAMU, elle aussi n’avait pu être réanimée. L’hypothèse d’une overdose médicamenteuse était privilégiée. De nombreux médicaments pilés avaient en effet été retrouvés dans sa cellule. Elle était écrouée depuis mai 2017, après avoir tué Alizée, sa fille de 9 ans en l’étouffant avec un coussin dans sa voiture, à Dolving, près de Sarrebourg, en Moselle.
https://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2018/05/23/centre-penitentiaire-de-nancy-maxeville-une-detenue-retrouvee-morte-en-cellule
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il est utile de systématiquement s'intéresser aux rythmes psychiques de l'humain pour comprendre et tenter de prévenir les comportements dramatiques... :
- suicide mercredi matin 23 mai 2018 et jour du drame mardi 13 janvier 2015 semblent être mêmes situations des rythmes (actuellement en année critique P1) le refus du rendez-vous de mardi peut être lié à ce jour critique, fréquemment de dépression s'il y a problème...(ne pas choisir ce jour si jour critique)
- idem pour le drame de Dolving : suicide lundi 30 avril/mardi 1er mai 2018 et mardi 23 mai 2017 jour du drame semblent être mêmes situations des rythmes, en période critique septennale des 49 ans...
(cela reste à vérifier dans les deux cas au moyen de la date de naissance, mais les épisodes de détresse et les passages aux actes ont tendance à avoir lieu le jour critique émotionnel donc le même jour de la semaine, ou à côté)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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