L’infirmier suspecté d’être un tueur en série souffrait d’une grave dépression: ses proches le défendent et accusent son épouse!
Ses proches le décrivent comme un homme aux abois, embourbé dans une situation familiale oppressante et des problèmes d’argent, travaillant trop et très (trop ?) empathique envers ses patients. Depuis quelques années, il était sous médicament(s) pour dépression. Son épouse est communément pointée du doigt…
Le parquet a confirmé nos informations exclusives publiées ce samedi au sujet de Frédéric, cet infirmier de Fosses-la-Ville, né en 1975, placé sous mandat d’arrêt en septembre 2017 pour assassinats et tentatives d’assassinat. L’homme, marié et père de deux enfants, est suspecté d’avoir volontairement empoisonné vingt et un de ses patients, tant des patients dont il s’occupait à titre privé que des résidents de la maison de repos où il travaillait, à Meux (province de Namur). Ses proches ne veulent pas croire en son statut présumé d’assassin mais le décrivent tout de même comme un être à bout de tout, sous pression extrême.
« Quelque temps avant son arrestation, je l’ai vu avoir des comportements qui, sur le coup, ne m’ont pas inquiété. Mais aujourd’hui, au regard de l’ampleur des faits dont il est soupçonné, je me dis qu’il avait tout de même des tendances suicidaires. (...)
http://www.sudinfo.be/id51571/article/2018-04-30/linfirmier-suspecte-detre-un-tueur-en-serie-souffrait-dune-grave-depression-ses
édit :
Les soupçons ont commencé à poindre quand la clinique Saint-Luc de
Bouge (Namur) a signalé au mois de septembre le décès suspect d'une
résidente de 87 ans. La vieille femme présentait un taux d'insuline
anormalement élevé, or, celle-ci n'était pas diabétique. De plus, elle
se portait à merveille le matin même.
L'affaire a été tenue secrète pendant plusieurs mois, le temps que
l'enquête soit menée ainsi que pour éviter de semer la panique parmi les
familles des personnes âgées en maison de retraite.
carte-de-namur-
Rapidement identifié, l'infirmier de Namur a été placé en détention
préventive en novembre 2017 pour assassinat par empoisonnement. Un autre
cas de janvier 2017 pose lui aussi question et lui est imputé. La
police continue ses recherches sur 21 autres cas qui correspondraient à
des morts suspectes ayant eu lieu dans sa clientèle privée de
Basse-Sambre, mais aussi à la Maison de Repos La Martinière. (...)
http://www.psycho-criminologie.com/2018/05/un-infirmier-de-namur-soupconne-d-etre-un-tueur-en-serie.html
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(période critique septennale des 42 ans et dépression septennale - rythmes courts à voir pour les suspiscions d'assassinat)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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