suicide des ados

La Drees veut encourager la recherche sur les comportements suicidaires des adolescents Dans la continuité des travaux de l’Observatoire national du suicide, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) lance un appel à projets de recherche sur les comportements suicidaires des adolescents et leur prévention. Il vise à "encourager et financer la réalisation de travaux scientifiques en sciences humaines et sociales (sociologie, psychologie, économie, sciences de l’éducation, etc.), en biostatistique ou en…(...)
http://www.hospimedia.fr/actualite/appels_a_projets_candidatures/49105
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si on explique aux ados qu'il ne faut pas se suicider (de toute façon) mais surtout le jour de la semaine où on est né ou jour à côté, parce que c'est ce jour là que, si l'on est suicidaire, on risque d'en avoir le plus envie... et si cela était suivi d'effet... la majorité des suicides sont enrayés...
c'est en effet le jour critique émotionnel (toujours notre jour hebdomadaire de naissance) qu'ont probablement lieu les suicides, simplement en raison d'un rythme du moral qui pulse tous les sept jours et qui est la cause mécanique de nos plus sévères downs... et il faut donc en quelque sorte "ne pas se faire avoir" par ce mécanisme...
aussi, tout autant à prendre en compte, nos autres épisode critiques - fréquemment présents et en cause lors d'un suicide - tout aussi "mécaniques" - car liés à des rythmes psychiques humains naturels :
- ci-dessus donc notre "jour critique émotionnel" hebdomadaire
- la période critique septennale des 14 ans (c'est celle de l'adolescence) ses effets se situent environ de 13 à 15 ans passés)
- nos épisode critiques semestriels (ce sont les semaines autour (environ un mois avant et après) de la période de l'anniversaire et à six mois de l'anniversaire - idem)
- et enfin un épisode de fréquent et fort down peut se présenter chaque 23ème jour de la vie - fréquemment présent en cas de drames  (peut-être moins chez les ados mais il faut le signaler car il peut être "fort" - et son inconvénient est qu'il faut un savant calcul d'ordinateur pour le situer - ici   http://biorythm.online.fr/w/ le jour marqué P18 et ses jours voisins P17 et P19. (la raison est qu'ils peuvent être d'un effet équivalent au jour critique émotionnel cité en premier)
- plusieurs des éléments précités sont souvent présents et nécessaires en cas d'idées suicidaires : il faut donc regarder la situation de ses rythmes et cycles en cas de gros coup de blues, colère ou désespoir... et se dire qu'il s'agit d'un mécanisme naturel de nos horloges biologiques... cela doit rassurer et permettre de passer un cap difficile.


n.b. le mécanisme est le même pour les adultes, sauf que ceux-ci sont concernés ensuite par leurs périodes critiques septennales successives, tout au long de la vie, leurs âges de la table de sept.