drame

Behren-lès-Forbach : drame familial à la maison de retraite Une pensionnaire de la maison de retraite de Behren-lès-Forbach a été tuée dans l’établissement par son propre fils, dimanche en fin d’après-midi. L’homme a ensuite tenté de se suicider. Il a été hospitalisé, dans un état grave. Ce dimanche, vers 17 h 30, ce Behrinois a vu les pompiers, le Samu et les gendarmes intervenir sous sa fenêtre. Sans se douter du drame qui s’est joué juste en face, à la maison de retraite Pavillon du Soleil. Un homme a tué sa mère de 81 ans, avant de tenter de se suicider. Passage à l’acte à l’aide d’un couteau La scène se serait produite au rez-de-chaussée, dans une pièce située à l’extrémité du long bâtiment. Toute la soirée, derrière le rideau tiré, les gendarmes de l’identification criminelle, revêtus de leur combinaison blanche, ont passé l’endroit au peigne fin. Pour autant, l’établissement a continué à fonctionner, avec les autres résidents dans leur chambre. Selon nos informations, le fils aurait tué sa mère à l’aide d’un couteau. Il aurait ensuite retourné l’arme contre lui et se serait tranché la gorge. Pris en charge par les sapeurs-pompiers, il a été transporté hier soir vers l’hôpital Marie-Madeleine de Forbach, dans un état grave. Placement de la mère mal vécu par le fils ? (...)
https://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-forbach/2018/02/25/behren-drame-familial-a-la-maison-de-retraite
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(âge du fils serait "une cinquantaine d'années" période critique septennale des 49 ans peut-être à voir- rythmes courts à voir, le jour du drame)

édit :
 "(...)Un homme de 57 ans s'est introduit dans la maison de retraite vers 17h ce dimanche, et a tué sa mère de 81 ans en l'étouffant. Le meurtrier a ensuite tenté de se suicider en s'égorgeant puis en s'ouvrant les veines avec une arme tranchante (...)
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/behren-les-forbach-il-tue-sa-mere-en-maison-de-retraite-et-tente-de-se-suicider-1519596645
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(ce serait donc plutôt un drame de la période critique septennale des 56 ans et de sa dépression - les rythmes courts restent à voir le jour du drame)