vendredi 26 janvier 2018

pas sûr

Bruno Beschizza : «Empêcher une nouvelle affaire Théo, c’est impossible»  Un an après le viol présumé du jeune habitant d’Aulnay-sous-Bois, le maire (LR) Bruno Beschizza, a pris plusieurs mesures en direction des quartiers… mais estime que le risque zéro n’existe pas.  Un an après le contrôle ultra-violent de Théo par des policiers à Aulnay-sous-Bois, le maire (LR) Bruno Beschizza assume. (...) « On ne comprend pas pourquoi le policier qui a fait ça n’est pas en prison (...)
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/bruno-beschizza-empecher-une-nouvelle-affaire-theo-c-est-impossible-26-01-2018-7523559.php
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les bavures ont tendance à avoir lieu en jour et épisode critique et les policiers n'en sont pas forcément exemptés. nous sommes alors, parfois en colère, mais surtout "poussés à l'action" et "désinhibés" : on pourrait donc s'intéresser aux rythmes et cycles psychiques (aussi des policiers) pour mettre en garde contre les risques d'excès voire de dérapage dans les comportements.
il semblerait que 
"on oublie trop souvent l’agresseur, le fautif. Un certain Marc-Antoine, âgé de 27 ans. On a peu d’informations sur lui. Il est pourtant mis en examen pour viol, suite à ce déplorable après-midi du 2 février à Aulnay-sous-Bois...
 En effet, huit jours avant ce déplorable incident... Ce fameux 26 janvier..."
http://www.vsd.fr/actualite/affaire-theo-qui-est-barbe-rousse-le-policier-designe-comme-une-brute-a-aulnay-19960
nous avons donc déjà la situation en période critique septennale des 28 ans et on pourrait encore regarder si jeudi est le jour critique émotionnel de l'agent en question puisque c'est à deux reprises ce jour-là qu'il semble être mis en cause... (sinon situations à voir les deux jeudis en question)

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