drame

Seine-et-Marne : jugée pour avoir tenté d’étouffer plusieurs fois son bébé Elle étouffe son bébé à 4 reprises : ce dernier est maintenant handicapé Le procès devant la cour d’assises de Seine-et-Marne, à Melun, doit durer trois jours. (...) Emmanuelle B., 37 ans, est jugée pour avoir tenté d’étouffer son bébé à quatre reprises, dans leur domicile du Mée-sur-Seine, au cours de l’année 2014. La petite fille, toujours en vie, est aujourd’hui handicapée. C’est en décembre 2014, alors qu’elle est hospitalisée en psychiatrie, suite à une troisième tentative de suicide, qu’Emmanuelle B. contacte la police pour soulager sa conscience : elle explique avoir tenté d’étouffer son bébé, alors âgé de cinq semaines, le 11 février précédent. Elle aurait appuyé sur son visage avec un coussin pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce qu’il arrête de pleurer. La mère de famille avait appelé les pompiers, quand l’enfant était devenu bleu. À l’époque, la mort subite du nourrisson avait été diagnostiquée. Les enquêteurs allaient découvrir que, suite à trois autres «malaises respiratoires inexpliqués», le bébé avait été hospitalisé le 26 mars, le 15 avril et le 19 mai. Des tentatives d’étouffement, en fait, que l’accusée aurait commises car elle ne supportait pas le handicap de sa fille, survenu suite à la première tentative d’étouffement. Certains professionnels avaient été intrigués par la répétition des malaises. Pourtant, le bébé avait été rendu à la mère de famille à chaque fois. Au cours de l’instruction, l’hypothèse d’un syndrome de Münchhausen par procuration (NDLR : forme grave de maltraitance au cours de laquelle un adulte provoque de manière délibérée des problèmes de santé chez un enfant avant de le conduire auprès d’un médecin, pour attirer l’attention) a été évoquée, pour expliquer le comportement de la mère de famille.
http://www.skcenter.be/phpbb/viewtopic.php?f=32&t=2213&sid=47e3bc94d49f56e1e5d09a573d2feef1
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comme souvent lors de drames familiaux graves, l'examen des rythmes et cycles psychiques humains expliquerait peut-être - ne serait-ce qu'en partie, certaines choses : période critique septennale des 35 ans et dépression septennale, (situations lors des trois tentatives de suicide à voir : elles ont généralement tendance à avoir lieu le jour critique émotionnel) 
les agressions sur le bébé semblent aussi correspondre à une situation chaque fois critique de la maman, (suspicion de jour critique émotionnel s'agissant du même jour et jour voisin (lundi/mardi/mercredi) mais cela ne peut être vérifié qu'avec la date de naissance. idem pour les situations de l'enfant qui pourraient correspondre aux "jours de pleurs" du jour critique physique du bébé : bébé peut pleurer fort ce jour-là alors qu'une maman en dépression pourra ne pas supporter ses pleurs. (mais à vérifier aussi avec la date de naissance du bébé)
(l'examen de la situation de la maman et du bébé le 11 février devrait donner des indications complémentaires à un diagnostic : la MSN a tendance à survenir en jour critique physique du bébé (mais les pleurs importants aussi) alors qu'une situation critique de la maman ce jour-là peut soulever des soupçons)