mercredi 27 décembre 2017

meurtres

Drôme: Un an après un quadruple meurtre, les familles de victimes espèrent toujours un procès  Dans la nuit du 25 au 26 décembre 2016, un homme avait poignardé quatre personnes entre la Drôme et le Vaucluse...  Il y a un an jour pour jour, trois retraités installés à Chabeuil et Montvendre étaient retrouvés assassinés chez eux, poignardés par un homme. À Orange dans le Vaucluse une quatrième victime est décédée de ses blessures quelque temps plus tard. Et un an plus tard, les familles de ces victimes sont toujours dans le flou raconte France Bleu. Les familles se sentent abandonnées Le 25 décembre 2016, Fissenou Sacko, un jeune homme de 23 ans originaire de Beauvais, avait été débarqué d’un TGV en gare de Valence avant de se livrer en quelques heures à un périple meurtrier. Les familles demandent aujourd’hui justice et affirment ne pas avoir été soutenues par l’État. (...)L’homme jugé irresponsable En début d’année, un rapport a conclu à une abolition totale du discernement de l’auteur des faits au moment de ses gestes, « un épisode de psychose chronique schizophrénique ». Un diagnostic qui le rend pénalement irresponsable. Mais depuis un rapport de contre-expertise a été demandé et devrait aboutir d’ici peu. Les familles de victimes espèrent toujours un procès.
http://www.20minutes.fr/faits_divers/2193379-20171226-drome-an-apres-quadruple-meurtre-familles-victimes-esperent-toujours-proces
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situation identique à celle du drame objet de mon post précédent : ceci expliquant probablement cela... (1)
25/26 décembre 2016 (11/12/1993) (jour critique intellectuel i1 - jour critique fort du cerveau - à proximité de l'anniversaire -rythme semestriel - en année P1)(dans un épisode triple critique fort dont lendemain du jour critique émotionnel E15)
Me 21 P(17)
Je 22 P(18)
Ve 23 P(19)
Sa 24 E(15)
Di 25  I(1)
Lu 26
Ma 27

(1) les jours critiques de nos rythmes physique et psychiques défilent très fréquemment, puisque c'est de l'ordre de chaque 6ième,7ième,8ième jours de la vie et ils ne prêtent généralement pas à conséquence, si ce n'est quand même que nous pouvons les ressentir parce que nous sommes alors (parfois car ils sont d'intensité différente) dans un "état différent", autre que d'ordinaire...
il arrive cependant exceptionnellement qu'ils soient à l'origine d'états et comportements excessifs voire "disjonctés" et ce sont alors eux - éléments déclencheurs - que l'on trouvera en regardant la situation d'une personne impliquée dans un drame. ici par exemple - comme dans le cas précédent - i1 qui est un jour critique intellectuel du cerveau et de la pensée... ayant probablement conduit à ces coups de folie dans un état fortement désinhibé.
étant rappelé que la justice, la médecine et la psychiatrie ne connaissent pas, aujourd'hui, ces rythmes et cycles physique et psychiques humains, pourtant découverts aux alentours de 1900 déjà, et qui fonctionnent, notre vie durant, avec l'exactitude ... d'une horloge...

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