vendredi 17 novembre 2017

tireur

Abdelhakim Dekhar, le "tireur de Libé" devant les assises, 4 ans après son périple armé dans Paris Après avoir attaqué des médias et une banque, il avait pris un homme en otage. Il risque la prison a perpétuité.  Ce 17 novembre débute le procès d'assises d'Abdelhakim Dekhar, pour son périple armé en novembre 2013 dans Paris et sa région, au cours duquel il avait grièvement blessé un homme. (...) Soupçonné pour une fusillade mortelle en 1994 Jugé à Paris pour récidives de tentative d'assassinat et pour enlèvement et séquestration, Abdelhakim Dekhar, 52 ans, encourt la perpétuité. (...)Son périple débute le 15 novembre 2013 vers 7h du matin. Armé d'un fusil à pompe, il pénètre dans le hall de la chaîne BFMTV, pointe son arme vers le rédacteur en chef de la chaîne, puis prend la fuite en laissant deux cartouches à terre. S'il manque alors sa cible, selon l'accusation, c'est seulement du fait de "sa maladresse dans la manipulation de l'arme". Trois jours plus tard, vers 10h du matin, il fait irruption dans le hall du journal Libération. Cette fois, il ouvre le feu à deux reprises, blesse grièvement au thorax un assistant photographe, avant de s'échapper à pied. A 11h35, des tirs retentissent cette fois dans le quartier d'affaires de la Défense, devant une agence de la Société générale. Trois coups de feu sont tirés: deux en direction du bâtiment, un troisième au cours de la fuite du tireur, vers le sol. Abdelhakim Dekhar a visé deux salariées, selon l'accusation, sans parvenir à les toucher. Quel mobile? A-t-il cherché à tuer? Cinq minutes plus tard, il prend brièvement en otage un automobiliste, à qui il ordonne de le conduire sur les Champs-Elysées. Les enquêteurs lancent un appel à témoin: les images de vidéosurveillance du suspect tournent en boucle. Ce n'est que le 20 novembre, soit cinq jours après l'attaque de BFMTV que le tireur est identifié, après une dénonciation de son logeur. Abdelhakim Dekhar est retrouvé allongé dans une voiture, à demi-conscient après avoir avalé des médicaments. Quel était son mobile? Dans une lettre non-datée laissée derrière lui et évoquée en 2013 par le procureur de Paris François Molins, il développe la théorie d'un "complot fasciste", s'en prend au "capitalisme" et aux journalistes "payés pour faire avaler des mensonges". Dans d'autres messages, il se fait le porte-parole des opprimés. Sa défense tentera de convaincre la cour que l'accusé n'avait pas l'intention de tuer. Sur le banc des parties civiles: Libération, la Société générale, le rédacteur en chef de BFMTV visé par l'arme, l'assistant photographe blessé. L'homme qui l'a hébergé sera aussi jugé pour "destruction d'objet concernant un crime".
http://www.huffingtonpost.fr/2017/11/17/abdelhakim-dekhar-le-tireur-de-libe-devant-les-assises-4-ans-apres-son-periple-arme-dans-paris_a_23280412/
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les impulsions des rythmes et cycles psychiques sont bien présentes ici également :
1994 est la période critique septennale des 28 ans (jour critique intellectuel i9)
2013 est la période critique septennale des 49 ans.
le périple a démarré lors d'un jour critique émotionnel E1, "jour de colère mais aussi jour des suicides" le plus fort de nos jour critiques psychiques... (né vendredi/action vendredi) (lendemain du jour critique physique P12)
le dernier épisode critique en cause est un épisode triple critique fort allant du lundi 18 au soir au vendredi 22. (P17/P19 est un équivalent du jour critique émotionnel et i1 est un jour critique du cerveau)

15 novembre 2013 (24/09/1965)
Ma 12 I(26)
Me 13
Je 14 P(12)
Ve 15 E(1)
Sa 16
Di 17
Lu 18
Ma 19 P(17)
Me 20 P(18) I(1)
Je 21 P(19)
Ve 22 E(8)
Sa 23
Di 24

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