Bonneville-sur-Touques Un train percute une voiture: trois Alsaciens tués
Une famille de Schweighouse-sur-Moder a trouvé la mort cet après-midi, peu avant 16h, à Bonneville-sur-Touques, près de Deauville, dans le Calvados. Un couple et un enfant de onze ans sont décédés dans une collision avec un train régional. Le père avait 38 ans, la mère 36 ans.
Les trois victimes se trouvaient dans le véhicule. L’accident a eu lieu à un passage à niveau «non protégé», sans barrière, ni sonnerie, signalé uniquement par des «panneaux», à Bonneville-sur-Touques, à quelques km au sud de Deauville, a aussi indiqué à l’AFP la cellule de crise.
Aucun blessé grave ne figure parmi les passagers du train, a aussi indiqué la préfecture.
http://www.dna.fr/actualite/2017/11/02/un-train-percute-une-voiture-trois-alsaciens-tues
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édit :
.(...)Virginie Thomas, née Metter, était originaire de Dauendorf. Elle allait fêter ses 36 ans le 12 novembre. Son mari Jonathan, 38 ans, était employé par l’entreprise LUK, filiale du groupe Schaeffler France basée à Bühl, en Allemagne. Ewan, leur fils, était scolarisé en 6e au collège des Missions Africaines à Haguenau.
Que faisait la famille sur cette petite route goudronnée – le chemin de la Libération, – qui se termine en voie pierreuse, tout juste carrossable, une fois la voie ferroviaire franchie ?(...)
Ce passage à niveau, le n° 8, n’est pas protégé. Il n’y a pas de barrière, pas de sonnerie avertissant l’automobiliste. En revanche, trois panneaux le signalent. « Un panneau Stop à 150 m, un stop, et une grande croix rouge et blanche qui signale le passage à niveau », a détaillé l’adjoint au maire au quotidien. De plus, les trains klaxonnent à l’approche du passage à niveau pour signaler leur présence. « On n’entend que ça, une vingtaine de fois par jour », note une voisine. « La visibilité était bonne. L’élagage des haies avait été fait. Les arbres ne cachent pas les panneaux », a souligné la maire de la commune, Florence Cothier.
Fabienne Fillion, la propriétaire du gîte de la Longère tout proche, ne comprend pas comment le drame a pu se produire : « Ma maison est située à 200 mètres de la voie ferrée. S’ils voulaient s’y rendre, ils n’avaient aucune raison de passer par là. Et s’ils sont venus voir, ils n’avaient aucune raison, en repartant, d’emprunter ce chemin. Ils pouvaient faire demi-tour sur le parking. »
Un précédent en 2002
Mme Fillion note surtout qu’un accident mortel avait déjà eu lieu au même endroit, il y a une quinzaine d’années. Le 22 novembre 2002, un homme de 43 ans, originaire de Tourville-en-Auge, avait perdu la vie sur ce passage à niveau. Sa voiture avait été happée par le train, rappelle Ouest-France
http://www.dna.fr/faits-divers/2017/11/04/un-drame-en-normandie
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pas trouvé de donnée pour l'époux (1979) dont la situation est à voir, mais la situation de l'épouse est fort critique (si née 12/11/1981 = jour critique physique P7 et jour critique émotionnel E8 en période critique septennale des 35 ans à proximité de l'anniversaire)
(précédent est probablement période critique septennale des 42 ans - rythmes courts à voir)
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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