mardi 4 avril 2017

suicide

Plainte après un suicide à la maison d’arrêt de La Talaudière Au mois de février, un homme de 34 ans, détenu pour une courte peine, s’est donné la mort à la maison d’arrêt de la Talaudière. Il s’est pendu. Sa famille a déposé plainte pour « non-assistance à personne en danger ». Le jeune homme avait écopé de trois mois, il devait sortir le 4 avril, peut-être avant avec les remises de peine. « Il a appelé notre mère, il était en grosse dépression. Elle a prévenu le SPIP (Service Pénitentiaire d’Insertion et de Prévention), dit qu’il fallait faire quelque chose ». « Les gardiens ont une formation à l’école, » rappelle Thierry Machard, secrétaire adjoint du syndicat UFAP-UNSA. « On nous explique les signes avant-coureurs, mais on n’est pas psychologues, ni psychiatres. Certains détenus cachent leur envies d’en finir, prennent la décision rapidement ». Le vrai danger est là pour le délégué syndical.
http://www.leprogres.fr/loire/2017/04/03/plainte-apres-un-suicide-a-la-maison-d-arret-de-la-talaudiere
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(période critique septennale des 35 ans - rythmes courts à voir)
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/prudence-en-cas-denvies-suicidaires-il.html

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