vendredi 7 avril 2017

dépression

Dépression : où en est la recherche ? Thème de la Journée mondiale de la santé du 7 avril 2017, la dépression reste encore tabou. Cette pathologie touche pourtant une personne sur cinq au cours de sa vie. Mais quels sont les facteurs de risque ? Et quels traitements sont aujourd’hui à l’étude ? Cette année, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) axe sa Journée mondiale de la santé sur… la dépression. Pouvant se déclarer à tous les âges, elle est avérée lorsqu’au moins 5 des 7 symptômes suivants sont repérés :
une tristesse quasi-permanente, avec parfois des pleurs (humeur dépressive);
une perte d’intérêt et de plaisir à l’égard des activités quotidiennes, même celles habituellement plaisantes (anhédonie)
un sentiment de dévalorisation et de culpabilité excessif ou inapproprié ;
des idées de mort ou de suicide récurrentes, le sentiment que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue ;
un ralentissement psychomoteur ;  
une fatigue (asthénie), souvent dès le matin ;
une perte d’appétit, souvent associée à une perte de poids ;
des troubles du sommeil ;
des difficultés attentionnelles, de concentration et de mémorisation.
 (...) même « si la dépression peut être soignée, lorsque le traitement médicamenteux est associé à une psychothérapie, il reste des risques de rechute plusieurs années après la rémission », expliquent des scientifiques de l’Inserm. Dans 50% à 80% des cas, la rechute intervient dans les 5 années suivant la guérison. « Généralement, plus les récidives sont nombreuses, plus la dépression est sévère. Certains facteurs, par exemple le fait de vivre seul, augmentent le risque de chronicisation de la dépression. » Une énigme pour les scientifiques Option envisagée pour freiner le risque de récidive : chercher à comprendre pourquoi certaines personnes ont un degré de vulnérabilité plus élevé face à la dépression. Certes, l’histoire personnelle (traumatisme, perte d’emploi, séparation…) peut déclencher une dépression. Mais pour autant, tout le monde n’y est pas exposé malgré les aléas de vie. Des prédispositions génétiques peuvent aussi influer sur le risque de souffrir de cette maladie. Ainsi, un individu dont l’un des parents fait une dépression présente deux à quatre fois plus de risque d’être lui-même dépressif au cours de sa vie. En outre, en plus de cette prédisposition génétique, il existerait une « vulnérabilité individuelle », soulignent les scientifiques de l’Inserm.(...) (5% à 20% des patients dépressifs finissent par mettre fin à leur jour) (...)
http://www.ladepeche.fr/article/2017/04/07/2552198-depression-ou-en-est-la-recherche.html
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curieusement la recherche ne s'intéresse apparemment pas, pour l'instant, aux rythmes et cycles psychiques humains... à l'origine de la plupart des dépressions...
et pourtant elle n'est pas loin lorsqu'elle constate que  "Dans 50% à 80% des cas, la rechute intervient dans les 5 années suivant la guérison"...
en effet, une dépression septennale (probablement la forme la plus fréquente car liée à un cycle septennal du psychisme) va pouvoir survenir lors d'un âge septennal, par exemple 41/42 ans et sévir le temps de la "période critique septennale"... pour "guérir" ensuite... la période critique étant terminée...  autour de 43 ans. la rechute peut alors survenir à l'arrivée de la période critique septennale suivante... autour des 48 ans... c'est à dire bien cinq années après la guérison... en fait sept années après la période critique septennale précédente...
mais d'autres rythmes et cycles peuvent aussi être la cause d'épisodes dépressifs :
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/depression.html 
http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/blog-page_23.html

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