samedi 25 février 2017

suicide

curieusement pour le moment il me semble que l'on ne s'intéresse qu'à la moitié du problème : en effet j'en suis venu à la conclusion que très souvent on ne se suicide pas seulement à cause de ses problèmes et son désespoir... mais on se suicide en fonction des rythmes et cycles psychiques humains, ceux-ci constituant même un élément plus important que le précédent, car élément déclencheur
et différents mécanismes et scénarios sont possibles :

- la plupart du temps on se débrouille avec ses problèmes et son désespoir, on arrive à "tenir le coup", solutionner, et passer le cap...

- on se débrouille avec jusqu'au moment où arrive un (ou souvent plusieurs ensemble ou successifs) "maillon faible" de nos rythmes et cycles psychiques et là çà peut casser si on n'est plus assez résistant...

l'origine de nos problèmes et notre désespoir est importante aussi car trois possibilités sont présentes : 

- leur origine est externe (problèmes de couple, famille, travail, financiers, etc...) et il faut alors voir et trouver des solutions pratiques et matérielles...

- leur origine peut être le fait des épisodes critiques de nos rythmes et cycles psychiques car ceux-ci peuvent être la cause de dépression ou désespoir (dépression hebdomadaire liée au jour critique émotionnel, dépression semestrielle liée au rythme des anniversaires, dépression septennale liées aux périodes critiques septennales, etc... pour ne citer que les éléments les plus fréquents (et fréquemment, en cas de drame, plusieurs éléments sont présents ensemble ou successivement)

- le plus souvent le problème est probablement hybride et les problèmes pratiques sont alors gravement accentués par la survenance d'épisodes critiques et alors  "fragilisants" de notre psychisme...

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