C’est une histoire scandaleuse qui nous vient d’Outre-Manche. Cette semaine Stephen Reeson, un Anglais de 52 ans, est jugé devant le tribunal d’Edimbourg (Ecosse) pour des viols répétés sur une adolescente alors qu’elle était âgée de 14 ans. Les faits se seraient déroulés en 2013, durant 9 mois.
Au delà des lourdes charges qui pèsent contre lui, la victime est venue en marge du procès raconter une terrifiante anecdote. Son violeur a en effet voulu la marquer à vie, dans le sens littéral du terme.
“Il m’a payée pour que je me fasse tatouer son prénom au niveau de ma hanche droite, a raconté la jeune femme âgée aujourd’hui de 17 ans. Il m’a demandée que ça soit écrit en symbole chinois pour que personne ne puisse comprendre la signification“. Et en effet, dans l’entourage de la jeune fille qui n’osait révéler les abus et qui était sous la coupe de son agresseur, personne n’a su.
Arrêté depuis l’année dernière, Reeson a de son côté rejeté toutes les accusations. L’homme qui était un ami de la famille de la victime a plutôt évoqué face aux magistrats une “histoire d’amour” entre lui et la jeune femme. Et l’argument a plutôt convaincu les jurés puisque la cour l’a condamné à seulement quatre ans de prison ferme.
“Le tatouage, je compte aujourd’hui le faire recouvrir“, a simplement indiqué la victime qui a du mal a comprendre le verdict. Elle seule semble savoir qu’un viol, ça ne s’efface pas comme ça…
http://www.lenouveaudetective.com/tatouage-viol-edimbourg-reeson/
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(période critique septennale des 49 ans)
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