infanticide

Les mystères d'une mère infanticide  D’origine sénégalaise, Fabienne Kabou préparait une thèse en philosophie. Adélaïde, sa petite fille de 15 mois, a été retrouvée noyée à Berck et est enterrée là-las Sur la plage de Berck (Pas-de-Calais), au lendemain du drame, des enfants avaient tracé ces mots : « L'ange des sables ». A la marée montante, Adélaïde, 15 mois, avait été abandonnée là par sa mère, Fabienne Kabou, 36 ans, avant de périr noyée. Son petit corps emmitouflé sera découvert par des pêcheurs de crevettes. Le sort tragique de cette fillette livrée aux flots glacés dans la nuit du 19 novembre 2013 a bouleversé la France. Adélaïde, que ses parents appelaient Ada, était aussi une enfant fantôme, jamais déclarée à l'état civil, révélera l'enquête. « Je l'ai posée, je lui ai parlé, je lui ai demandé pardon », avait livré Fabienne Kabou au juge d'instruction un mois après son geste, avançant avoir agi sous l'influence d'une force irrésistible lui imposant de rendre Adélaïde à la mer... Deux ans d'investigations et d'expertises n'ont pas éclairci tous les ressorts de ce singulier infanticide. Le procès de Fabienne Kabou, qui sera jugée pour assassinat du 20 au 24 juin devant les assises de Saint-Omer, promet d'en sonder les mystères. La personnalité de cette femme d'origine sénégalaise, qui préparait une thèse en philosophie, surprend et fascine. « Ce n'est pas un monstre », répète son avocate, Me Fabienne Roy-Nansion, qui souligne la singularité de son intelligence et de son parcours. Issue d'une famille de la bourgeoisie sénégalaise, Fabienne Kabou était venue étudier à Paris après son baccalauréat.
Grossesse cachée Deux questions occuperont les débats : celle de la préméditation, retenue par l'accusation — au motif notamment que Fabienne Kabou avait acheté les billets de train pour rejoindre Berck, consulté les horaires des marées, emporté ni nourriture ni change pour son bébé. Et celle de l'état psychiatrique de cette femme au moment du passage à l'acte. Les collèges d'experts qui l'ont examinée ont retenu une altération de son discernement, mais avec des arguments différents. Les premiers mettent en avant une influence culturelle, liée à « une adhésion à des croyances se situant dans le registre de la sorcellerie sénégalaise ». Les derniers ont retenu une pathologie mentale, une psychose délirante chronique à thématique persécutive. Fabienne Kabou a notamment livré qu'elle souffrait d'hallucinations visuelles et sonores. (...)
http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/les-mysteres-d-une-mere-infanticide-03-01-2016-5416885.php
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"Elle est née à Dakar le 14 juin 1977..."

19/20 novembre 2013

Me 13

Je 14

Ve 15

Sa 16

Di 17 P(12)

Lu 18

Ma 19 E(8) I(9)

Me 20

Je 21

Ve 22 

la plupart des éléments que je regarde généralement sont ici présents, lorsque l'on observe la situation des rythmes et cycles psychiques de l'intéressée, le 19 novembre 2013... si la date de naissance est juste... : 

jour critique émotionnel E8, et jour critique intellectuel i9 (mon "jour des tueurs") à cinq mois de l'anniversaire de cette native de juin, au sortir de sa période critique septennale des 35 ans.

(« Les deux années qui ont précédé l'assassinat de ma fille ont été les pires de ma vie,...")
( "J'étais pressée par quelque chose, j'étais poussée, j'étais incitée... Je n'avais pas le choix, je n'avais le choix de rien, la date était fixée, c'était ce jour-là et pas un autre", a affirmé Fabienne Kabou)
  ("Quand je rentre à Paris, j'ai l'attitude de quelqu'un qui est allé faire une course...", avait-elle déclaré.)
(... jeune femme de 39 ans aux traits fins et incroyablement juvéniles)
( sorcellerie, et des «intrigues» qui la hantent à partir de 2010)

édit 24/06 : " Fillette noyée à Berck-sur-Mer: la mère condamnée à 20 ans de prison ferme"
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/06/24/97001-20160624FILWWW00262-fillette-noyee-a-berck-la-mere-condamnee-a-20-ans-de-prison-ferme.php