dimanche 12 juin 2016

antidépresseurs

La France a perdu sa place de leader dans la consommation d'antidépresseurs. Bonne nouvelle, malgré le fait qu'un Français sur quatre est toujours sous traitement. Il a cependant été prouvé que les antidépresseurs ne sont guère efficaces chez l'enfant et l'adolescent. Les antidépresseurs ne fonctionnent pas chez l'enfant et l'adolescent.
En France, le taux des moins de 18 ans sous antidépresseurs baisse de 17 % en 7 ans Une étude a été menée et publiée dans la revue scientifique britannique The Lancet, jeudi 9 juin 2016. Elle regroupe 34 études avec un échantillon de 5 260 participants de 9 à 18 ans et porte sur le traitement aigu du trouble dépressif majeur chez les enfants et adolescents. Les spécialistes ont comparé les effets de quatorze antidépresseurs sur quatre semaines de traitement. Il en résulte que seule la fluoxétine (Prozac) présente plus d'avantages que de risques. Le signataire de l'étude, le Professeur David Cohen, chef du service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent à la Pitié-Salpêtrière, explique « qu'il est admis depuis une dizaine d'années que les traitements médicamenteux n'ont que peu d'effets sur les dépressions de l'enfant et de l'adolescent ». Selon des estimations citées par l'étude, 2,8 % des enfants de 6 à 12 ans et 5,6 % des adolescents souffrent de troubles dépressifs majeurs dans les pays développés. La dépression nécessite un suivi et une psychothérapie Selon la HAS, les symptômes de la dépression sont difficiles à identifier et peuvent très souvent passer inaperçus. Elle avait d'ailleurs fait des recommandations dans l'identification de la maladie et l'amélioration de l'accompagnement. « Le premier traitement des dépressions chez l'enfant ou l'adolescent doit rester l'approche psychologique ou relationnelle qui est plus efficace sur le long terme », comme le précise le professeur Daniel Marcelli. La Food and Drug Administration américaine avait aussi mis en garde contre le risque d'effets secondaires de ces médicaments en 2004. Le risque de suicide est accru et un tiers des adolescents souffrant de dépression feraient une tentative. Selon la HAS, le venlafaxine (Effexor) est directement lié à ces pensées suicidaires.
http://news.radins.com/actualites/les-antidepresseurs-ne-fonctionnement-pas-chez-enfant-et-adolescent,24180.html
=====================

un français sur quatre sous traitement... il est vrai que des épisodes critiques (1) défilent sans cesse tout au long de notre vie... je pense qu'une bonne partie de ces dépressions sont liées à aux rythmes et cycles naturels que j'essaie d'expliquer ici... et que j'ai pour l'instant repérés...
s'agissant probablement d'un mécanisme inhérent au fonctionnement de l'organisme humain, voire du vivant, je pense que cela pourrait expliquer la difficulté de le contrer au moyen d'antidépresseurs...
ces rythmes et cycles fonctionnent par pulsations et en gigogne : le jour critique émotionnel est hebdomadaire (2), un autre rythme semble être semestriel (période autour de l'anniversaire et entre deux anniversaires çàd à six mois de là (3), et enfin la période critique septennale qui va pouvoir induire des dépressions plus longues autour de nos années d'âge ... de la table de sept...
on doit pouvoir vérifier cela en analysant les dépressions (leur départ et leur fin) mais surtout aussi les accidents liés aux états dépressifs (violences, suicides et tentatives, etc...) c'est d'ailleurs ainsi, en y regardant de plus près, que j'ai fini par faire le lien avec une prédominance des rythmes et cycles dont je parle. tout cela restant à confirmer au moyen de recherches avec un grand nombre de données... (4) ce que je n'ai moyen de faire... 
curieusement cela donne des rythmes hebdomadaire, semestriel, septennal, induisant des "dépressions naturelles" à l'occasion desquelles pourront survenir - pas systématiquement bien sûr et heureusement, mais à la manière d'une "porte ouverte" (5) - c'est en fonction de notre état et de ce qui nous arrive - , des états dépressifs d'intensité variable... 


(1) critique n'étant ici pas à prendre uniquement dans un sens négatif, mais dans le sens d'un épisode pouvant (voire destiné à) induire un changement d'état (ceci pouvant aussi être positif...)
(2)  pouvant induire un état dépressif d'une journée ou deux. bien sûr pas systématiquement, mais s'il se produit de sévères et subits états dépressifs, cela aura tendance à être ce jour-là plutôt qu'un autre. (toujours le jour de la semaine où nous sommes nés - ou le jour à coté - simplement parce qu'il s'agit d'un rythme à pulsation  chaque septième jour)
(3) l'époque autour de l'anniversaire semble être plus "forte" que celle située entre deux anniversaires (donc à 5-7 mois de là)
(4) je me pose p.ex. la question de savoir si ce cycle septennal ne peut pas être divisé par deux un peu comme l'est le rythme semestriel, la pulsation intermédiaire étant toutefois bien moins "forte" que la pulsation septennale... donc à étudier, comme tout le reste...
(5) http://rythmescycleshumains.blogspot.fr/p/modification-des-parametres.html

Aucun commentaire: