jeudi 16 juin 2016

agresseur

Lorraine : procès de l’agresseur au sabre, les psys penchent vers l’acquittement Le procès de l’agresseur au sabre d’un policier nancéien tourne à la bataille de psys. Et la défense en sort vainqueur(...) matinée du 15 mars 2014 au cours de laquelle un gardien de la paix, a été grièvement blessé par un marginal armé d’un katana, près de la gare de Nancy. Le brigadier n’a pas vu les deux coups de sabre qui ont entaillé la cuisse puis tranché la main de son collègue. Il est arrivé après. Pour maîtriser son agresseur : Sabahaddin Kose, un marginal de 51 ans.(...) Pour ce praticien, l’homme au katana a une « personnalité paranoïaque » et souffre de « délires de persécution ». Et il ne cache pas que s’il avait été désigné expert, il aurait conclu à « une abolition de son discernement ». Ce qui est synonyme d’irresponsabilité pénale et d’acquittement. Problème : cela ne colle pas avec le rapport de celui qui a été nommé expert dans cette affaire, le docteur Georgescu. Lui voit dans l’homme au sabre, non pas un parano, mais un « schizophrène paranoïde ». La nuance est subtile mais d’importance. Car dans ce cas, l’accusé est responsable de ses actes et peut être condamné. (...)
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2016/06/16/lorraine-proces-de-l-agresseur-au-sabre-les-psys-penchent-vers-l-acquittement
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(si 51 ans aujourd'hui, il faudrait s'intéresser aux effets et états particuliers de la période critique septennale des 49 ans et situation le jour du drame)

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