suicide

Réseaux sociaux: des parents en croisade après le suicide de leur fille Les parents d'une adolescente qui s'est suicidée la semaine dernière aimeraient que le décès de leur fille ne soit pas vain. Isabelle Désy et Jean-Guy Provost sont secoués. Leur fille Marianne, 14 ans, était une première de classe souriante avec la vie devant elle, mais elle souffrait en silence. En fait, Marianne avait envoyé des signaux de détresse à partir d’un compte Instagram secret. Comme plusieurs autres jeunes en mal de vivre, elle partageait des photos des blessures qu’elle s’infligeait. Malheureusement, la douleur de Marianne n'était pas que virtuelle. Elle a mis fin à ses jours dans sa chambre, lundi dernier. Marianne criait sa douleur sur la planète virtuelle, mais n’y a jamais trouvé d’échos. Ses parents auraient aimé que les responsables d'Instagram les avisent. L'adolescente consultait une psychiatre, elle avait des parents à l'écoute, mais ça n'a pas suffi. Selon ses parents, l'automutilation trop répandue chez les jeunes est malheureusement banalisée. Ils militent aujourd’hui pour que les réseaux sociaux revoient leur politique concernant les photos que les jeunes partagent.
http://www.tvanouvelles.ca/2016/05/02/reseaux-sociaux-des-parents-en-croisade-apres-le-suicide-de-leur-fille
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(période critique septennale des 14 ans - rythmes courts à voir : on trouve fréquemment le jour critique émotionnel, ou un jour à côté, le jour du drame)