bébé secoué

Bébé secoué à Arras : loin de l’enfer qu’il disait vivre au quotidien, le père était bien épaulé L’explication du quotidien invivable, mise en avant par S. V., 38 ans, pour justifier les violences sur son bébé de cinq mois, s’est effritée lors du deuxième jour de son procès aux assises. Le verdict est attendu ce jeudi. L’avocat des parties civiles, Me Osseyran, livre sa plaidoirie en fin d’après-midi ce mercredi.(...)Bien plus encore que le détail des examens qu’il avait réalisés à l’arrivée puis au décès de la jeune Maïlyse au CHR de Lille le 7 mars 2013 et qui avaient confirmé le syndrome du bébé secoué. La présidente a fini par lui demander cette improvisation théâtrale ce mercredi midi, las de l’absence de réponses de l’accusé. « Il faut qu’on comprenne la violence du geste. » Car jamais, en deux jours d’audience, l’Arrageois de 38 ans « n’a été capable de nous raconter une seule scène », s’exaspère l’avocate générale Élise Bozzolo. « J’ai perdu le contrôle » Il reconnaît « trois ou quatre » secouements violents, la nuit.Sur ce très court laps de temps d’un mois et demi, en janvier et février 2013, où il avait la garde de ses trois enfants.(...) Maïlyse est décédée à l’âge de quatre mois et demi des suites des secouements de son père.
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(période critique septennale des 35 ans ?)