lundi 28 décembre 2015

mystère

Un double meurtre en Bretagne pourrait relancer l'enquête sur la tuerie de Chevaline
Le mystère de la tuerie de Chevaline reste entier trois ans après les faits. L'enquête pourrait rebondir après un appel d'un ancien policier à la retraite.Les deux affaires sont au point mort. D'un côte, la tuerie dite "de Chevaline", survenue en 2012 dans la région d'Annecy et au cours de laquelle quatre personnes sont abattues de sang froid en pleine forêt, toutes tuées de deux balles dans la tête. De l'autre, le double meurtre de Lanvallay (Côtes d'Armor) : en 1986, les corps de Paul Beillon et Lorraine Glasby sont retrouvés dans un champ. Le couple d'enseignants anglais a été abattu au fusil de chasse après avoir été battu et traîné en laisse. Un policier à la retraite fait le lien Les deux affaires sont-elles liées ? C'est ce dont est persuadé Pascal Huche, policier à la retraite qui a passé des années à tenter de résoudre l'enquête sur le double meurtre de Lanvallay. En 2013, Libération avait dressé son portrait. Il était déjà persuadé que l'affaire de Chevaline trouverait sa réponse trente ans plus tôt, dans l'un de ses vieux dossiers. Problème : l'affaire de Lanvallay a été classée en 2006. Mais de ces 20 années d'enquête, Pascal Huche a tout conservé, surtout la conviction qu'à l'époque, il tenait le coupable. En 2001, il tient un nom, Michel H. Incarcéré en Belgique, l'homme s'est vanté en cellule d'avoir tué un couple en Bretagne, 20 ans plus tôt. En Belgique, Michel H. purge une peine de prison pour de multiples cambriolages. Détail déroutant : le nom de Michel H. apparaît dans les fichiers de la police pour des pillages d'églises dans la région de... Lanvallay.
 Un troisième double meurtre En fouillant le passé, Pascal Huche exhume une troisième affaire, celle du double meurtre d'un couple de touristes belges en 1979. Comme le couple Beillon-Glasby, ils ont été battus, traînés par une laisse et tués au fusil de chasse à seulement 15km de Lanvallay. Dans cette affaire, le principal suspect, blanchi depuis, s'appelait Roger H. Qui n'est autre que le père de Michel H. Tous deux nient en bloc une quelconque implication dans ces meurtres. En 2006, un non-lieu est prononcé, mais Pascal Huche n'en démord pas. Pour rouvrir officiellement l'enquête, il faut désormais un élément nouveau. Un élément qui pourrait bien être la tuerie de Chevaline, en 2013. Le quadruple meurtre de la famille Al-Hilli et d'un cycliste présente des similitudes avec ces deux anciennes affaires. Et surtout, l'ADN retrouvé sur les lieux du quadruple meurtre n'a jamais été identifié. Il pourrait correspondre à d'anciens prélèvements effectués à Lanvallay. Aujourd'hui, le quotidien britannique Telegraph révèle en tout cas que Pascal Huche a officiellement contacté la gendarmerie en charge de l'enquête sur Chevaline pour lui faire part de son sentiment sur ces trois affaires.
http://www.metronews.fr/info/un-double-meurtre-en-bretagne-pourrait-relancer-l-enquete-sur-la-tuerie-de-chevaline/molA!HSsOsB0gEbET2/

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en regardant les rythmes et cycles on peut parfois trouver des indices, aussi... certains types de meurtriers ont tendance à agir en jour ou période critique... et s'il y a récidive... le même jour de la semaine ou un jour à côté.
ce qui pourrait - sauf coïncidence car il y en a aussi - être le cas pour les meurtres de Lanvalley en 1986 et 1979... (à sept ans l'un de l'autre... et si les dates trouvées sont justes, un dimanche... (24/08/1986 et 15/07/1979)
avec prudence quand même, il faudrait alors voir si un suspect est un natif du dimanche et s'il se trouvait dans une période critique septennale au moment des drames... qui ont eu lieu au même moment dans l'année... ce qui est un autre indice.
Chevaline (mercredi 5 septembre 2012) ne semble pas correspondre à une situation cyclique en lien avec les deux cas précédents : mais si on a un éventuel suspect on peut toujours observer sa situation cyclique au moment du drame... 

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