Un meurtrier qui a tué sa conjointe parce qu'il était jaloux de l'attention qu'elle portait à leur petit chien devra faire 13 ans de pénitencier avant d'être admissible à une libération conditionnelle.
Après deux semaines de procès, Mario Godbout, 55 ans, de Thetford Mines, a plaidé coupable à une accusation réduite de meurtre non prémédité de Josée Lauzon, une femme de 52 ans avec qui il vivait depuis environ une année.
Le soir du 21 octobre 2011, l'ambiance est tendue dans le couple. Godbout, qui a bu une bouteille de vodka, et Josée Lauzon se disputent. L'homme, qui vit de prestations d'aide sociale, reproche à sa conjointe de constamment s'occuper du chien, de le négliger. La femme lui lance des insultes avant d'aller se coucher.
En proie à une violente colère, qu'il a comparée à un volcan, Mario Godbout va chercher un couteau dans la cuisine. Il entre dans la chambre et poignarde dans le dos sa conjointe, couchée face au mur. Il lui assène ensuite trois coups au thorax.
De retour dans la cuisine, Godbout lâche le couteau, réalise ce qu'il a fait, pleure. En panique, il fuit.
Durant deux jours, il va cacher à ses proches le sort de Josée Lauzon. Il finit par confesser son crime aux policiers.
Comme tous les meurtriers, Mario Godbout a été condamné à la prison à perpétuité. Après avoir entendu les parties, la juge Manon Lavoie de la Cour supérieure a estimé, dans sa décision rendue mercredi à Québec, que l'homme pourrait être admissible à la libération conditionnelle après 13 années derrière les barreaux.
Risque de récidive important
La juge considère que l'accusé présente un risque de récidive important et doit donc être encadré pour une longue période.
Mario Godbout ne se reconnaît aucun problème de violence, note-t-elle. Durant le procès, l'accusé a expliqué que «le problème, c'est la maîtresse du chien» et qu'en adoptant un comportement inapproprié avec son chien, elle a, en quelque sorte, contribué à sa propre mort. «Encore aujourd'hui, l'accusé tente de nous expliquer l'inexplicable», constate la juge Lavoie.
Les avocats de défense, qui réclamaient que leur client soit admissible à une libération après le délai minimal de 10 ans prévu par la loi, ont annoncé qu'ils allaient porter la peine en appel
Source : Le Soleil le 18 novembre 2015
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