Meurtre de Brigitte Biangana à Meaux : l’accusé se décrit « non violent »
« Je ne suis ni jaloux excessif, ni violent. Je suis fidèle, j’aime que la femme soit fidèle » : c’est ainsi que se décrit Elias Varela Fontes, ce mardi, devant la cour d’assises de Seine-et-Marne, à Melun.
Cet homme de 57 ans est jugé, jusqu’à jeudi, pour récidive de meurtre par conjoint.
Le 5 août 2012, à Meaux, il a donné douze coups de couteau dans le thorax et l’abdomen de sa compagne Brigitte Biangana, tuée à l’âge de 38 ans (notre édition d’hier).
Trois des enfants de la victime assistent à l’audience, les deux plus jeunes attendent dans la salle des pas perdus. Ils sont entourés par des membres de leur famille. « Je souffre autant que vous car j’ai aimé la personne et je l’aime encore », ose affirmer l’accusé. Quelques minutes plus tard, le médecin-légiste va détailler les plaies thoraciques et abdominales profondes, qui ont engendré une « hémorragie massive », cause du décès de Brigitte Biangana.
Rien n’y fait ce mardi : Elias Varela Fontes conteste l’image de « dictateur autoritaire et possessif » que des témoins donnent de lui. Il n’hésite pas à s’opposer, poliment, à la présidente Catherine Katz qui l’interroge sur sa première compagne, décédée. « Cette affaire a été jugée. Je ne me souviens plus », martèle-t-il. Réponse de la magistrate : « Oui, mais ce n’est pas tout à fait banal d’être en récidive devant une cour d’assises ».
C’est qu’en 2002, Elias Varela Fontes a été condamné par les assises des Alpes-Maritimes à une peine de vingt ans de réclusion criminelle, assortie d’une période de sûreté de dix ans, pour avoir poignardé et égorgé sa précédente compagne, en pleine rue.
La mère de ses deux enfants avait fui le domicile, où elle était battue. L’accusé explique sobrement à la cour qu’elle avait un amant. « La tête a été pratiquement séparée du corps », souligne Catherine Katz. La présidente cherche à comprendre : « Qu’est-ce qui s’est passé dans votre tête ? Qu’est-ce qui vous fait sortir de vos gonds ? » L’accusé lui rétorque : « C’est la question que je me pose encore aujourd’hui ».
http://www.leparisien.fr/meaux-77100/meurtre-de-brigitte-biangana-a-meaux-l-accuse-se-decrit-non-violent-01-09-2015-5053259.php
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le premier meurtre date sauf erreur du jeudi 13 juillet 2000 (période critique septennale des 42 ans de l'accusé) alors que le second est du dimanche 5 août 2012. (54 ans)
apparemment pas de lien direct entre les deux dates sauf que les deux drames ont eu lieu au même moment de l'année... les rythmes courts en diraient plus...
ces rythmes qui déterminent notre forme et nos humeurs et parfois mènent à des actes incontrôlés...
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