mercredi 27 mai 2015

tentative d'homicide

Une femme devant les assises pour avoir tenté de tuer la maîtresse de son amant
Pour son avocat, cette femme se trouvait dans un état de dépendance pervers vis-à-vis de son amant quand elle a asséné deux coups de couteau à sa rivale amoureuse.
Jalousie maladive ou acte de démence, sous emprise? La Cour d'assises de Seine-et-Marne va devoir déterminer dans quelles circonstances Florence Wojcik, 44 ans, a assené deux coups de couteau à sa rivale le 12 octobre 2011. 
Ce jour là, Shabnam Vaezi-Nejad vient de quitter le domicile de son amant, en Seine-et-Marne, quand elle est agressée par une femme vêtue d'un long imperméable, le visage masqué par une écharpe. Interpellée cinq jours plus tard près d'Orléans, Florence Wojcik reconnaît entretenir une liaison depuis six ans avec Claude Meyer, un universitaire marié de 64 ans, qu'elle soupçonne d'avoir une autre maîtresse. Et ce jour-là, elle bascule. «J'ai du mal à réaliser. J'avais une vie classique, ordinaire. J'étais amoureuse et, par amour, j'ai été emportée dans une spirale et je n'ai pas su m'en sortir (…) Il ne se passe pas un jour où je ne regrette pas ce qui s'est passé, pas un jour sans que j'y pense, sans que je pleure», raconte l'accusée auprès de nos confrères de RTL. Aux enquêteurs, elle dit se rappeler avoir fait le geste d'une claque en direction de la tête de la seconde maîtresse. Mais pas de l'avoir poignardée. Quant à l'arme du crime, elle affirme l'avoir prise dans sa cuisine avant de partir de chez elle pour manger une pomme. Mise en examen pour «tentative d'homicide», l'accusée, qui comparaîtra libre sous contrôle judiciaire, risque 30 ans de réclusion criminelle. Son procès se tient ce mercredi et jeudi à Melun. Amant pervers, épouse complice Pour Me Pascal Garbarini, son avocat, «rien ne prédestinait cette femme», directrice des affaires culturelles d'une mairie du Loiret, «à se retrouver devant une cour d'assises». Amoureuse éperdue, Florence Wojcik passe même ses vacances en compagnie de l'universitaire et de son épouse officielle. A ses yeux, Florence Wojcik a été victime d'un amant pervers, avec la complicité de sa femme. Elle se trouvait, selon l'avocat, en état de dépendance psychique totale vis à vis de ce couple. «J'ai toujours estimé que l'intention criminelle n'y était pas», explique celui qui a été l'avocat d'Yvan Colonna. Quand elle commet ce geste, «ma cliente est sous une emprise telle que ce n'est plus elle» qui agit, fait-il valoir. Aussi «les responsabilités sont à chercher ailleurs» et la question à laquelle ce procès devra répondre est: «comment peut-on en arriver là?». Le verdict est attendu jeudi soir.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/05/27/01016-20150527ARTFIG00256-une-femme-devant-les-assises-pour-avoir-tente-de-tuer-la-maitresse-de-son-amant.php

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sous réserve de la bonne donnée de naissance la situation cyclique pourrait là aussi, donner des indications :

12 octobre 2011 (1/06/1971)
Sa 8
Di 9
Lu 10
Ma 11 E(15)
Me 12 P(1) I(26)
Je 13
Ve 14
Sa 15
Di 16
Lu 17

(jour critique physique P1 et critique intellectuel i26 le lendemain du jour critique émotionnel E15 - donc un épisode triplement critique - à 40 ans et presque cinq mois après l'anniversaire)
(rupture possiblement septennale du côté de l'amant si 64 ans c'est à l'époque - d'une liaison septennale de 56 à 63 ans)

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