Bas-Rhin : il avait tenté de tuer sa fille pour l'honneur, 10 ans de prison
Dans leur verdict les jurés ont reconnu le père coupable de tentative d'homicide volontaire, de violation de domicile et de violences.
Un père de 59 ans a été condamné ce mercredi par la cour d'assises du Bas-Rhin à 10 ans d'emprisonnement pour avoir tenté de tuer, pour laver l'honneur de sa famille, sa fille fugueuse dont il désapprouvait la relation amoureuse.
..., un ancien capitaine de l'armée somalienne, était jugé avec son fils depuis lundi.
Dans leur verdict, les jurés ont reconnu le père coupable de tentative d'homicide volontaire, de violation de domicile et de violences. Il a été maintenu en détention.
Le soir du drame, le 8 octobre 2012, l'accusé avait porté trois coups sur sa fille avec une lame de 20 cm — une baïonnette de kalachnikov — dans la région du cœur et perforé un poumon de la victime qui avait été grièvement blessée. L'accusé, installé depuis près de 20 ans en France comme réfugié politique, s'était rendu accompagné de son fils de 24 ans au domicile familial du compagnon de sa fille, à Strasbourg, où celle-ci, en fugue depuis un mois, s'était réfugiée.
En entrant dans le logement, une violente altercation avait suivi avec la famille du compagnon. Le fils de l'accusé s'était même interposé pour empêcher la famille d'intervenir pendant que son père assénait les coups de baïonnette à sa sœur. La jeune fille est de confession musulmane contrairement à son amoureux alsacien qui, en outre, était deux fois plus âgé qu'elle.
La fille ne s'était pas constituée partie civile
L'avocat général avait requis 12 années de réclusion contre le père et 4 ans d'emprisonnement avec sursis contre le frère, qui l'avait aidé à retrouver l'adresse de la victime en consultant l'annuaire inversé. Le jeune homme a été condamné à trois ans de prison entièrement assortis du sursis, et disculpé des faits de violences. Appelée à la barre, la victime, âgée de 22 ans, qui a survécu à ses blessures, ne s'était pas constituée partie civile.
Dans le box des accusés, vêtu d'un costume sombre, le père, un homme grisonnant arborant un visage sec et un regard dur, voilé par des lunettes dorées, niait être parti dans le but de tuer sa fille. Décrit par les témoins et les experts psychiatres comme «despotique» et «narcissique», le père a dans ses derniers mots à la cour présenté des excuses à sa fille, se disant «désolé» de son geste.
Son avocate, Me Kim Kyung-Mee, avait plaidé l'acquittement, estimant que l'intention de tuer la victime n'était pas «suffisamment caractérisée». L'avocate a évoqué l'existence d'un «élément déclencheur»: l'accusé venait d'apprendre par la bouche de sa fille qu'elle avait perdu sa virginité.
Source : Le Parisien le 20 mai 2015
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